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Amérindien
Un jeune Amérindien a obtenu le droit de porter une coiffe avec des plumes d'aigle lors de la cérémonie de remise des diplômes de son lycée après un accord de dernière minute pour éviter une action en justice.
Christian Titman, qui fait partie de la tribu des Pit River, avait demandé à plusieurs reprises à son lycée californien de le laisser porter des plumes, selon une tradition amérindienne, lors de la cérémonie de remise des diplômes, qui aura lieu jeudi.
L'adolescent de 18 ans avait lancé une procédure d'injonction avec le soutien de la puissante association de défense des droits de l'Homme (ACLU).
Ses avocats sont parvenus à un accord avec l'administration du lycée Clovis, situé à 320 km de San Francisco (ouest des Etats-Unis).
Le lycée avait proposé que le jeune homme reçoive les plumes en même temps que son diplôme et les accroche ensuite à la coiffe de sa tenue, mais ce dernier voulait porter les plumes sur sa coiffe dès le début et pendant tout l'événement.
Compromis trouvé: il portera les plumes dans ses cheveux jusqu'à ce qu'on lui remette son titre, puis les fixera sur sa coiffe.
"Christian et sa famille sont ravis", a commenté Novella Coleman, avocate de l'ACLU.
Un jeune Amérindien a obtenu le droit de porter une coiffe avec des plumes d'aigle lors de la cérémonie de remise des diplômes de son lycée après un accord de dernière minute pour éviter une action en justice.
Christian Titman, qui fait partie de la tribu des Pit River, avait demandé à plusieurs reprises à son lycée californien de le laisser porter des plumes, selon une tradition amérindienne, lors de la cérémonie de remise des diplômes, qui aura lieu jeudi.
L'adolescent de 18 ans avait lancé une procédure d'injonction avec le soutien de la puissante association de défense des droits de l'Homme (ACLU).
Ses avocats sont parvenus à un accord avec l'administration du lycée Clovis, situé à 320 km de San Francisco (ouest des Etats-Unis).
Le lycée avait proposé que le jeune homme reçoive les plumes en même temps que son diplôme et les accroche ensuite à la coiffe de sa tenue, mais ce dernier voulait porter les plumes sur sa coiffe dès le début et pendant tout l'événement.
Compromis trouvé: il portera les plumes dans ses cheveux jusqu'à ce qu'on lui remette son titre, puis les fixera sur sa coiffe.
"Christian et sa famille sont ravis", a commenté Novella Coleman, avocate de l'ACLU.

Erdogan
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a une nouvelle fois défendu son déménagement dans son nouveau, luxueux et très controversé palais d'Ankara, expliquant cette fois que son ancienne résidence était infestée de cafards.
"Quand j'ai pris mes fonctions (de Premier ministre), la salle de bains de la primature était pleine de cafards. Est-ce qu'un endroit pareil est convenable pour accueillir le Premier ministre de Turquie ?", a plaidé M. Erdogan lors d'un entretien diffusé vendredi soir sur la chaîne de télévision A Haber.
"Vous y installeriez un invité, vous ? Que se passerait-il si cette personne racontait ce qu'elle a vu ?", a-t-il insisté. Inauguré à l'automne, son nouveau palais présidentiel compte un millier de pièces réparties sur 200.000 m2 et a coûté 490 millions d'euros. Lorsque M. Erdogan, alors Premier ministre, a ordonné sa construction, ce bâtiment était destiné à accueillir le chef du gouvernement et ses services. Elu chef de l'Etat en août 2014, M. Erdogan a décidé d'y installer ses quartiers et cédé l'ancien siège de la présidence à son successeur Ahmet Davutoglu.
Le nouveau palais est régulièrement dénoncé par les détracteurs du président, qui y voient le signe de sa folie des grandeurs et de sa dérive autoritaire. M. Erdogan rétorque en affirmant que le luxe dont il s'entoure contribue au "prestige de la Turquie".
Pendant la campagne pour les élections législatives de dimanche, un chef de l'opposition, Kemal Kiliçdaroglu, a affirmé que le bâtiment était équipé de couvercles de toilettes en or. M. Erdogan l'a fermement démenti.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a une nouvelle fois défendu son déménagement dans son nouveau, luxueux et très controversé palais d'Ankara, expliquant cette fois que son ancienne résidence était infestée de cafards.
"Quand j'ai pris mes fonctions (de Premier ministre), la salle de bains de la primature était pleine de cafards. Est-ce qu'un endroit pareil est convenable pour accueillir le Premier ministre de Turquie ?", a plaidé M. Erdogan lors d'un entretien diffusé vendredi soir sur la chaîne de télévision A Haber.
"Vous y installeriez un invité, vous ? Que se passerait-il si cette personne racontait ce qu'elle a vu ?", a-t-il insisté. Inauguré à l'automne, son nouveau palais présidentiel compte un millier de pièces réparties sur 200.000 m2 et a coûté 490 millions d'euros. Lorsque M. Erdogan, alors Premier ministre, a ordonné sa construction, ce bâtiment était destiné à accueillir le chef du gouvernement et ses services. Elu chef de l'Etat en août 2014, M. Erdogan a décidé d'y installer ses quartiers et cédé l'ancien siège de la présidence à son successeur Ahmet Davutoglu.
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