Autres articles
-
Découverte d’une molécule qui désarme les bactéries
-
Au Cap, les ambulanciers "prient" avant d'intervenir dans les quartiers chauds
-
Niveau de vie, santé : Le rebond post-Covid s'essouffle déjà
-
Pour les rendre compatibles avec tous les groupes sanguins : Un outil pourrait modifier les globules rouges
-
Atterrissage d'urgence et 36 heures bloqués dans un marais entourés de caïmans

Policier
Le chef de la police de Fidji a défrayé la chronique après avoir fait fuir une bande de cambrioleurs avec pour toute arme une chaise pliante alors qu'il était au restautant, ont rapporté vendredi les médias.
Originaire d'Afrique du Sud, Ben Groenewald, en poste depuis un an dans l'archipel du Pacifique, a raconté que son instinct avait pris le dessus lors de cet incident.
Jeudi soir, tandis qu'il participait à une soirée privée à l'arrière d'un restaurant, le policier, âgé de 65 ans, a été alerté par du vacarme devant l'établissement qu'il a attribué dans un premier temps "à des personnes ivres". "Je suis allé voir et j'ai vu qu'il ne s'agissait pas de gens saouls mais de cambrioleurs, masqués et armés", a déclaré Ben Groenewald, à la radio australienne ABC.
"L'instinct de policier s'est imposé, j'ai attrapé une chaise pliante et je les ai attaqués. D'autres clients sont venus m'aider et je crois que les voleurs ont été pris par surprise", a-t-il ajouté. Avant de s'enfuir, l'un des cinq cambrioleurs a lancé une bouteille à la tête du policier, qui en a été quitte pour treize points de suture.
Le chef de la police de Fidji a défrayé la chronique après avoir fait fuir une bande de cambrioleurs avec pour toute arme une chaise pliante alors qu'il était au restautant, ont rapporté vendredi les médias.
Originaire d'Afrique du Sud, Ben Groenewald, en poste depuis un an dans l'archipel du Pacifique, a raconté que son instinct avait pris le dessus lors de cet incident.
Jeudi soir, tandis qu'il participait à une soirée privée à l'arrière d'un restaurant, le policier, âgé de 65 ans, a été alerté par du vacarme devant l'établissement qu'il a attribué dans un premier temps "à des personnes ivres". "Je suis allé voir et j'ai vu qu'il ne s'agissait pas de gens saouls mais de cambrioleurs, masqués et armés", a déclaré Ben Groenewald, à la radio australienne ABC.
"L'instinct de policier s'est imposé, j'ai attrapé une chaise pliante et je les ai attaqués. D'autres clients sont venus m'aider et je crois que les voleurs ont été pris par surprise", a-t-il ajouté. Avant de s'enfuir, l'un des cinq cambrioleurs a lancé une bouteille à la tête du policier, qui en a été quitte pour treize points de suture.

Melons
Un lot de deux melons cantaloups dits Yubari a trouvé preneur au Japon pour la coquette somme de 1,5 million de yens (11.100 euros), dans un pays qui raffole des fruits de luxe, à la forme parfaite et au goût savoureux. La vente aux enchères était organisée sur le marché central de la ville de Sapporo sur l'île septentrionale de Hokkaido, où se trouve l'ex-ville minière de Yubari qui a donné son nom à cette marque de melon, la plus prestigieuse du pays.
Un grossiste a remporté le précieux lot à un tarif certes délirant, mais qui n'égale pas le record de 2,5 millions de yens (18.600 euros) atteint l'an dernier et en 2008.
Mi-avril, deux mangues très recherchées s'étaient arrachées au prix de 300.000 yens (2.230 euros) à Miyazaki, sur l'île de Kyushu (sud-ouest). Sans aller jusqu'à débourser de telles sommes, les Japonais ne regardent pas à la dépense pour acheter, et surtout offrir des fruits, un cadeau très estimé dans l'archipel.
Dans les rayons dédiés des grands magasins ou boutiques spécialisées, ces oeuvres d'art de la nature sont exposées telles des bijoux, protégées par une résille de mousseline blanche.
Un lot de deux melons cantaloups dits Yubari a trouvé preneur au Japon pour la coquette somme de 1,5 million de yens (11.100 euros), dans un pays qui raffole des fruits de luxe, à la forme parfaite et au goût savoureux. La vente aux enchères était organisée sur le marché central de la ville de Sapporo sur l'île septentrionale de Hokkaido, où se trouve l'ex-ville minière de Yubari qui a donné son nom à cette marque de melon, la plus prestigieuse du pays.
Un grossiste a remporté le précieux lot à un tarif certes délirant, mais qui n'égale pas le record de 2,5 millions de yens (18.600 euros) atteint l'an dernier et en 2008.
Mi-avril, deux mangues très recherchées s'étaient arrachées au prix de 300.000 yens (2.230 euros) à Miyazaki, sur l'île de Kyushu (sud-ouest). Sans aller jusqu'à débourser de telles sommes, les Japonais ne regardent pas à la dépense pour acheter, et surtout offrir des fruits, un cadeau très estimé dans l'archipel.
Dans les rayons dédiés des grands magasins ou boutiques spécialisées, ces oeuvres d'art de la nature sont exposées telles des bijoux, protégées par une résille de mousseline blanche.