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Arrestations
La police indienne a annoncé récemment un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
"La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille", a-t-il déclaré à l'AFP.
Policiers
Quatre policiers indiens chargés d'escorter un meurtrier de sa prison à l'hôpital ont été surpris en sa compagnie, dans un bordel, lors d'une opération antiprostitution, a annoncé le quotidien Hindustan Times.
Au lieu de conduire le détenu à l'hôpital pour un contrôle, ces policiers de l'Etat pauvre du Jharkhand (est) ont décidé de faire un détour de plus de 200 kilomètres pour se rendre dans le quartier chaud d'Asansol, dans l'Etat du Bengale-Occidental.
Armés mais en civil, ils ont été arrêtés mais le meurtrier est parvenu à s'échapper. Il s'est présenté de lui-même un peu plus tard à la prison de Koderma où il était détenu.
"Nous avons ouvert une enquête et suspendu les quatre policiers", a déclaré le directeur général de la police de l'Etat, D.K Pandey, interrogé par le journal.
Ivres au moment de leur arrestation, les quatre hommes ont été placés en détention provisoire à Asansol, selon la même source.
Au moins cinq évasions se sont produites dans le Jharkhand depuis 2012.
La police indienne a annoncé récemment un millier d'arrestations après la diffusion à la télévision d'images d'amis et de parents escaladant les murs d'un centre d'examen scolaire pour aider les candidats.
Ces images, qui se sont répandues comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, montrent des dizaines de personnes armées de téléphones portables et d'antisèches accrochées aux fenêtres d'un immeuble de quatre étages, dans l'Etat du Bihar.
Sur d'autres images on peut voir du personnel scolaire et des policiers observer sans réagir les mêmes scènes dans plusieurs centres d'examen qui organisent les épreuves de fin d'études secondaires, équivalent du baccalauréat.
Placés en détention provisoire, les tricheurs et leurs complices doivent s'acquitter d'une caution de 2.000 roupies (30 euros) au minimum pour recouvrer la liberté, a indiqué un haut responsable de la police du Bihar, Gupteshwar Pandey.
"La moitié d'entre eux sont des parents et des enseignants, les autres des amis et des membres de la famille", a-t-il déclaré à l'AFP.
Policiers
Quatre policiers indiens chargés d'escorter un meurtrier de sa prison à l'hôpital ont été surpris en sa compagnie, dans un bordel, lors d'une opération antiprostitution, a annoncé le quotidien Hindustan Times.
Au lieu de conduire le détenu à l'hôpital pour un contrôle, ces policiers de l'Etat pauvre du Jharkhand (est) ont décidé de faire un détour de plus de 200 kilomètres pour se rendre dans le quartier chaud d'Asansol, dans l'Etat du Bengale-Occidental.
Armés mais en civil, ils ont été arrêtés mais le meurtrier est parvenu à s'échapper. Il s'est présenté de lui-même un peu plus tard à la prison de Koderma où il était détenu.
"Nous avons ouvert une enquête et suspendu les quatre policiers", a déclaré le directeur général de la police de l'Etat, D.K Pandey, interrogé par le journal.
Ivres au moment de leur arrestation, les quatre hommes ont été placés en détention provisoire à Asansol, selon la même source.
Au moins cinq évasions se sont produites dans le Jharkhand depuis 2012.