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Boa
Un boa de trois mètres de long, soupçonné de s'être échappé de la maison de son propriétaire à Buenos Aires, a finalement été retrouvé chez lui, après quatre jours de recherches ayant mobilisé pompiers, sécurité civile et vétérinaires pour tranquilliser le voisinage.
Le serpent, nommé Margarita, "se reposait, bien enroulé dans une armoire de la maison de son maître", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la sécurité civile du quartier de Banfield.
L'alerte avait été donnée dimanche, son propriétaire croyant que l'imposante bête de 30 kg avait fugué.
Le reptile, qui a été transféré sur ordre de la justice vers un reptilarium à 62 km au sud de Buenos Aires, avait l'habitude de sortir du vivarium installé dans la salle à manger et de se promener à sa guise dans la maison.
Les habitants du quartier étaient terrorisés à l'idée de se trouver nez-à-nez avec Margarita et avaient demandé l'intervention de la justice.
Le propriétaire du serpent a été convoqué au commissariat, car il a enfreint l'interdiction de détenir en captivité un animal sauvage.
En janvier, c'est un python de 3,5 mètres, nommé Coco, qui avait semé la panique à Pablo Podesta, une localité du nord-ouest de Buenos Aires, avant d'être capturé.
Un boa de trois mètres de long, soupçonné de s'être échappé de la maison de son propriétaire à Buenos Aires, a finalement été retrouvé chez lui, après quatre jours de recherches ayant mobilisé pompiers, sécurité civile et vétérinaires pour tranquilliser le voisinage.
Le serpent, nommé Margarita, "se reposait, bien enroulé dans une armoire de la maison de son maître", a expliqué à l'AFP un porte-parole de la sécurité civile du quartier de Banfield.
L'alerte avait été donnée dimanche, son propriétaire croyant que l'imposante bête de 30 kg avait fugué.
Le reptile, qui a été transféré sur ordre de la justice vers un reptilarium à 62 km au sud de Buenos Aires, avait l'habitude de sortir du vivarium installé dans la salle à manger et de se promener à sa guise dans la maison.
Les habitants du quartier étaient terrorisés à l'idée de se trouver nez-à-nez avec Margarita et avaient demandé l'intervention de la justice.
Le propriétaire du serpent a été convoqué au commissariat, car il a enfreint l'interdiction de détenir en captivité un animal sauvage.
En janvier, c'est un python de 3,5 mètres, nommé Coco, qui avait semé la panique à Pablo Podesta, une localité du nord-ouest de Buenos Aires, avant d'être capturé.

Oie
Une oie, et sous son costume de plumes blanches un militant de la cause des animaux, a remercié devant la Maison Blanche le prince Charles, pour s'être prononcé en 2008 contre le foie gras.
"Charles est cher à mon coeur pour avoir banni le foie gras des menus royaux", proclamait jeudi matin une pancarte tenue par "l'oie" et quelques militants de l'association Peta, qui estime que le gavage produisant le foie gras est "cruel" pour les canards et les oies.
"Nous voulions le remercier pour sa gentillesse et pour donner le bon exemple", a indiqué à l'AFP Ashley Byrne, militante de Peta.
Le prince Charles avait fait savoir en 2008, sans donner de raisons, qu'il avait donné instruction à ses chefs personnels de ne pas acheter de foie gras.
Une oie, et sous son costume de plumes blanches un militant de la cause des animaux, a remercié devant la Maison Blanche le prince Charles, pour s'être prononcé en 2008 contre le foie gras.
"Charles est cher à mon coeur pour avoir banni le foie gras des menus royaux", proclamait jeudi matin une pancarte tenue par "l'oie" et quelques militants de l'association Peta, qui estime que le gavage produisant le foie gras est "cruel" pour les canards et les oies.
"Nous voulions le remercier pour sa gentillesse et pour donner le bon exemple", a indiqué à l'AFP Ashley Byrne, militante de Peta.
Le prince Charles avait fait savoir en 2008, sans donner de raisons, qu'il avait donné instruction à ses chefs personnels de ne pas acheter de foie gras.