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Grenades
Les Serbes ont été priés de ne pas jeter des grenades à la poubelle et de les remettre à la police alors que le pays vient de se doter d'une loi prévoyant des peines de prison pour possession illégale d'armes.
"Le ministère de l'Intérieur appelle tous les citoyens qui ont des grenades à main et autres engins explosifs à ne pas s'en débarrasser en les mettant dans des conteneurs à ordure (...)", lit-on dans un communiqué diffusé mercredi.
Les Serbes sont plutôt conseillés d'"appeler le commissariat de police le plus proche". "Des policiers viendront le plus vite possible pour les emporter en toute sécurité", dit-on de même source, en ajoutant que les citoyens ne subiront ainsi aucune sanction.
Le Parlement serbe a récemment adopté une loi sur la possession d'armes accordant une amnistie à tous ceux qui remettent aux autorités des armes ou engins explosifs avant le 4 juin.
Adoptée à la suite d'une hausse du nombre d'accidents dus à la possession illégale d'armes, cette nouvelle législation prévoit notamment des peines allant jusqu'à cinq ans de prison pour possession illégale d'armes. Les autorités n'ont pas de statistique précise sur le nombre d'armes détenues illégalement par les Serbes, depuis les guerres des années 1990 dans les Balkans. On estime pourtant leur nombre à plusieurs centaines de milliers.
Par ailleurs, les autorités ont délivré plus d'un million d'autorisations pour détention d'armes dans ce pays de 7,2 millions d'habitants.
Les Serbes ont été priés de ne pas jeter des grenades à la poubelle et de les remettre à la police alors que le pays vient de se doter d'une loi prévoyant des peines de prison pour possession illégale d'armes.
"Le ministère de l'Intérieur appelle tous les citoyens qui ont des grenades à main et autres engins explosifs à ne pas s'en débarrasser en les mettant dans des conteneurs à ordure (...)", lit-on dans un communiqué diffusé mercredi.
Les Serbes sont plutôt conseillés d'"appeler le commissariat de police le plus proche". "Des policiers viendront le plus vite possible pour les emporter en toute sécurité", dit-on de même source, en ajoutant que les citoyens ne subiront ainsi aucune sanction.
Le Parlement serbe a récemment adopté une loi sur la possession d'armes accordant une amnistie à tous ceux qui remettent aux autorités des armes ou engins explosifs avant le 4 juin.
Adoptée à la suite d'une hausse du nombre d'accidents dus à la possession illégale d'armes, cette nouvelle législation prévoit notamment des peines allant jusqu'à cinq ans de prison pour possession illégale d'armes. Les autorités n'ont pas de statistique précise sur le nombre d'armes détenues illégalement par les Serbes, depuis les guerres des années 1990 dans les Balkans. On estime pourtant leur nombre à plusieurs centaines de milliers.
Par ailleurs, les autorités ont délivré plus d'un million d'autorisations pour détention d'armes dans ce pays de 7,2 millions d'habitants.

Madonna
Elle les avait traités de "vulgaires provinciaux" il y a quelques jours: le maire de la ville où Madonna a grandi a riposté en invitant la chanteuse à revenir à Rochester Hills (Michigan, Nord) pour s'en faire une nouvelle idée.
"Nous sommes beaucoup de choses Madonna, mais pas de vulgaires provinciaux", s'est insurgé Bryan Barnett, le maire de Rochester Hills, une petite ville de 80.000 habitants près de Detroit, dans une lettre publiée lundi dans les médias locaux.
La chanteuse, en pleine promotion de son dernier album "Rebel Heart", avait expliqué dans un entretien avec une radio américaine qu'elle n'avait aucun désir de revenir à Rochester Hills, qu'elle avait décrite comme une ville de "vulgaires provinciaux".
"J'avais l'impression d'être entourée de gens riches et comme je ne l'étais pas, je ne me sentais pas à ma place", avait-elle confié.
"Madonna, votre succès est incroyable, nous en sommes tout à fait conscients, mais nous espérons que vous soyez tout en autant capable de voir le nôtre", a ajouté le maire, expliquant que sa ville était par exemple à la pointe de la robotique.
L'artiste sulfureuse s'est fait un nom après avoir abandonné ses études à l'université du Michigan pour s'installer à New York comme danseuse.
Sa ville natale, Bay City, avait décidé en 1985 de lui retirer un titre honorifique après la publication de photos d'elle nue dans Playboy. Madonna avait alors évoqué "une petite ville puante".
Elle les avait traités de "vulgaires provinciaux" il y a quelques jours: le maire de la ville où Madonna a grandi a riposté en invitant la chanteuse à revenir à Rochester Hills (Michigan, Nord) pour s'en faire une nouvelle idée.
"Nous sommes beaucoup de choses Madonna, mais pas de vulgaires provinciaux", s'est insurgé Bryan Barnett, le maire de Rochester Hills, une petite ville de 80.000 habitants près de Detroit, dans une lettre publiée lundi dans les médias locaux.
La chanteuse, en pleine promotion de son dernier album "Rebel Heart", avait expliqué dans un entretien avec une radio américaine qu'elle n'avait aucun désir de revenir à Rochester Hills, qu'elle avait décrite comme une ville de "vulgaires provinciaux".
"J'avais l'impression d'être entourée de gens riches et comme je ne l'étais pas, je ne me sentais pas à ma place", avait-elle confié.
"Madonna, votre succès est incroyable, nous en sommes tout à fait conscients, mais nous espérons que vous soyez tout en autant capable de voir le nôtre", a ajouté le maire, expliquant que sa ville était par exemple à la pointe de la robotique.
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