Autres articles
-
Niveau de vie, santé : Le rebond post-Covid s'essouffle déjà
-
Pour les rendre compatibles avec tous les groupes sanguins : Un outil pourrait modifier les globules rouges
-
Atterrissage d'urgence et 36 heures bloqués dans un marais entourés de caïmans
-
Flèches contre tracteurs : La bataille silencieuse dans l'Amazonie péruvienne
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques

Miraculé
La jeune mariée néerlandaise a vu son époux reculer pour mieux cadrer la photo, puis plus rien: il venait de tomber du haut de la falaise de “La fin du monde” au Sri Lanka, haute de 1.200 mètres, avant d’être sauvé miraculeusement par un arbre.
“Il a été extrêmement chanceux parce qu’il a atterri sur la cime d’un arbre après une chute de près de 40 mètres”, a annoncé un porte-parole de l’armée Jayanath Jayaweera.
L’homme, âgé de 35 ans, souhaitait immortaliser sa jeune épouse quand il est tombé du haut de la falaise, l’une des grandes attractions touristique du pays où le couple était en lune de miel, a-t-il expliqué.
Quelque 40 soldats munis de cordes ont réussi à récupérer le jeune marié qui a été transporté sur les épaules d’un militaire sur une distance de 5 km avant d’être héliporté vers un hôpital de la région.
“Son état est stable et il est hors de danger”, a indiqué un officier de police.
La falaise de “World’s End” (La fin du monde) est la principale attraction de la réserve naturelle des Horton Plains, hauts plateaux dans le centre de l’Ile.
La jeune mariée néerlandaise a vu son époux reculer pour mieux cadrer la photo, puis plus rien: il venait de tomber du haut de la falaise de “La fin du monde” au Sri Lanka, haute de 1.200 mètres, avant d’être sauvé miraculeusement par un arbre.
“Il a été extrêmement chanceux parce qu’il a atterri sur la cime d’un arbre après une chute de près de 40 mètres”, a annoncé un porte-parole de l’armée Jayanath Jayaweera.
L’homme, âgé de 35 ans, souhaitait immortaliser sa jeune épouse quand il est tombé du haut de la falaise, l’une des grandes attractions touristique du pays où le couple était en lune de miel, a-t-il expliqué.
Quelque 40 soldats munis de cordes ont réussi à récupérer le jeune marié qui a été transporté sur les épaules d’un militaire sur une distance de 5 km avant d’être héliporté vers un hôpital de la région.
“Son état est stable et il est hors de danger”, a indiqué un officier de police.
La falaise de “World’s End” (La fin du monde) est la principale attraction de la réserve naturelle des Horton Plains, hauts plateaux dans le centre de l’Ile.

Record
Un record de “chaleur” a été établi mardi à Moscou, où les températures ont grimpé à +6 degrés Celsius, du jamais vu un 24 février et dix degrés au dessus des normales saisonnières, selon les services météorologiques russes.
A 15H00 (12H00 GMT), “les températures à Moscou ont atteint +6°C”, a indiqué le Bureau météorologique de la capitale dans un bulletin publié sur son site. Il s’agit d’un record de “chaleur” pour un 24 février qui dépasse le précédent qui datait de 1997: 5,4°C, selon la même source.
Alors que les Moscovites sont habitués à des températures glaciales (autour de -5 degrés en moyenne) en cette période, la neige accumulée pendant l’hiver sur les pelouses et sur les toits fond depuis plusieurs jours, laissant des flaques d’eaux grisâtres sur les trottoirs.
“Ce dernier mois de l’hiver est anormalement chaud sur la plupart du territoire européen de Russie et les températures correspondent plus à celles de mars”, a commenté pour sa part un site spécialisé Meteonovosti.ru.
Cette “chaleur” inhabituelle est provoquée par “un air très chaud venu de l’Atlantique qui a brouillé les cartes de l’hiver”, explique-t-il.
Un record de froid absolu pour un 24 février a été établi à Moscou en 1917 lorsque les températures sont tombées à -29,1°C, rappelle le site.
Un record de “chaleur” a été établi mardi à Moscou, où les températures ont grimpé à +6 degrés Celsius, du jamais vu un 24 février et dix degrés au dessus des normales saisonnières, selon les services météorologiques russes.
A 15H00 (12H00 GMT), “les températures à Moscou ont atteint +6°C”, a indiqué le Bureau météorologique de la capitale dans un bulletin publié sur son site. Il s’agit d’un record de “chaleur” pour un 24 février qui dépasse le précédent qui datait de 1997: 5,4°C, selon la même source.
Alors que les Moscovites sont habitués à des températures glaciales (autour de -5 degrés en moyenne) en cette période, la neige accumulée pendant l’hiver sur les pelouses et sur les toits fond depuis plusieurs jours, laissant des flaques d’eaux grisâtres sur les trottoirs.
“Ce dernier mois de l’hiver est anormalement chaud sur la plupart du territoire européen de Russie et les températures correspondent plus à celles de mars”, a commenté pour sa part un site spécialisé Meteonovosti.ru.
Cette “chaleur” inhabituelle est provoquée par “un air très chaud venu de l’Atlantique qui a brouillé les cartes de l’hiver”, explique-t-il.
Un record de froid absolu pour un 24 février a été établi à Moscou en 1917 lorsque les températures sont tombées à -29,1°C, rappelle le site.