Autres articles
-
Niveau de vie, santé : Le rebond post-Covid s'essouffle déjà
-
Pour les rendre compatibles avec tous les groupes sanguins : Un outil pourrait modifier les globules rouges
-
Atterrissage d'urgence et 36 heures bloqués dans un marais entourés de caïmans
-
Flèches contre tracteurs : La bataille silencieuse dans l'Amazonie péruvienne
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques

Accouchement
Un bébé indien a survécu à une naissance effrayante, ayant glissé par la cuvette des toilettes du train pour tomber sur les rails juste après l'accouchement, a indiqué mardi un responsable de la police.
Sa mère âgée de 22 ans s'est évanouie après avoir accouché dans les toilettes exiguës d'un train indien qui s'était brièvement arrêté avant de repartir pour Hanumangarh, dans l'Etat du Gujarat (ouest).
"La femme a ressenti d'intenses douleurs de travail, aussi elle s'est rendue aux toilettes où elle a accouché seule d'un garçon qui a glissé dans la cuvette des toilettes et est tombé sur les rails", a dit un responsable de la police ferroviaire, Subhash Vishnoi, à l'AFP.
La plupart des trains indiens ont des toilettes occidentales et des toilettes à la turque qui se déversent directement sur les rails. Le train avait déjà redémarré vers Hanumangarh quand les membres de sa famille ont trouvé la jeune femme inconsciente.
Un agent de sécurité a vu le nouveau-né pleurant sur les voies et en a informé la police qui a hospitalisé le bébé.
"Quand la femme et son mari ont retrouvé leur nouveau-né vivant et indemne, ils étaient très très contents", a dit un autre policier, Ram Singh. "Ils ne s'attendaient pas à retrouver le bébé vivant".
Un bébé indien a survécu à une naissance effrayante, ayant glissé par la cuvette des toilettes du train pour tomber sur les rails juste après l'accouchement, a indiqué mardi un responsable de la police.
Sa mère âgée de 22 ans s'est évanouie après avoir accouché dans les toilettes exiguës d'un train indien qui s'était brièvement arrêté avant de repartir pour Hanumangarh, dans l'Etat du Gujarat (ouest).
"La femme a ressenti d'intenses douleurs de travail, aussi elle s'est rendue aux toilettes où elle a accouché seule d'un garçon qui a glissé dans la cuvette des toilettes et est tombé sur les rails", a dit un responsable de la police ferroviaire, Subhash Vishnoi, à l'AFP.
La plupart des trains indiens ont des toilettes occidentales et des toilettes à la turque qui se déversent directement sur les rails. Le train avait déjà redémarré vers Hanumangarh quand les membres de sa famille ont trouvé la jeune femme inconsciente.
Un agent de sécurité a vu le nouveau-né pleurant sur les voies et en a informé la police qui a hospitalisé le bébé.
"Quand la femme et son mari ont retrouvé leur nouveau-né vivant et indemne, ils étaient très très contents", a dit un autre policier, Ram Singh. "Ils ne s'attendaient pas à retrouver le bébé vivant".

Honnêteté
Un cumul de quelque 3,34 milliards de yens (25 millions d'euros) en espèces perdus ici et là ont été confiés à la police par d'honnêtes citoyens l'an passé, ont indiqué lundi les forces de l'ordre qui ont ainsi pu remettre les trois quarts de cet argent égaré à leurs propriétaires légitimes.
Généralement, quand un Japonais trouve un portefeuille plus ou moins garni, il s'empresse de le déposer au poste de police le plus proche, qui finit dans beaucoup de cas par retrouver la personne qui l'a malencontreusement abandonné.
Une personne a même fait une découverte des plus surprenantes: un sac de sport avec la bagatelle de 18,44 millions de yens (136.500 euros), de quoi presque s'offrir un petit appartement dans la capitale japonaise.
Près de 74% de la totalité des liquidités trouvées en 2014 ont finalement été rendues aux personnes étourdies qui les avaient semées en chemin, a précisé une porte-parole de la police, y compris le sac aux 18 millions.
Selon la loi japonaise, si un objet trouvé n'est pas réclamé après trois mois, la personne qui l'a remis aux autorités peut choisir de le garder.
Mais étonnamment, quelque 390 millions de yens ont fini dans les coffres de la ville de Tokyo, cumul des sommes que les propriétaires légitimes n'ont pas réclamées et auxquelles ont renoncé ceux qui les avaient trouvées.
Même si l'honnêteté nippone est aussi motivée par la crainte que cet argent trouvé ne leur porte malheur, les médias locaux n'hésitent pas à jouer sur ce registre pour rappeler "qu'à la différence d'autres pays, le Japon est sûr", un bon point pour draguer les touristes étrangers.
La sécurité relative de l'archipel - vérité dont attestent les chiffres et dont les Japonais sont fiers - est en effet souvent remarquée par les visiteurs d'autres contrées.
Un cumul de quelque 3,34 milliards de yens (25 millions d'euros) en espèces perdus ici et là ont été confiés à la police par d'honnêtes citoyens l'an passé, ont indiqué lundi les forces de l'ordre qui ont ainsi pu remettre les trois quarts de cet argent égaré à leurs propriétaires légitimes.
Généralement, quand un Japonais trouve un portefeuille plus ou moins garni, il s'empresse de le déposer au poste de police le plus proche, qui finit dans beaucoup de cas par retrouver la personne qui l'a malencontreusement abandonné.
Une personne a même fait une découverte des plus surprenantes: un sac de sport avec la bagatelle de 18,44 millions de yens (136.500 euros), de quoi presque s'offrir un petit appartement dans la capitale japonaise.
Près de 74% de la totalité des liquidités trouvées en 2014 ont finalement été rendues aux personnes étourdies qui les avaient semées en chemin, a précisé une porte-parole de la police, y compris le sac aux 18 millions.
Selon la loi japonaise, si un objet trouvé n'est pas réclamé après trois mois, la personne qui l'a remis aux autorités peut choisir de le garder.
Mais étonnamment, quelque 390 millions de yens ont fini dans les coffres de la ville de Tokyo, cumul des sommes que les propriétaires légitimes n'ont pas réclamées et auxquelles ont renoncé ceux qui les avaient trouvées.
Même si l'honnêteté nippone est aussi motivée par la crainte que cet argent trouvé ne leur porte malheur, les médias locaux n'hésitent pas à jouer sur ce registre pour rappeler "qu'à la différence d'autres pays, le Japon est sûr", un bon point pour draguer les touristes étrangers.
La sécurité relative de l'archipel - vérité dont attestent les chiffres et dont les Japonais sont fiers - est en effet souvent remarquée par les visiteurs d'autres contrées.