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Allocation
Un homme de 49 ans a caché le corps de sa compagne pendant un an pour pouvoir continuer à toucher des allocations de la défunte décédée selon lui de mort naturelle, a-t-on appris jeudi de source policière.
La macabre découverte a été effectuée mercredi matin par une femme huissier de justice escortée d'un policier, lors d'une visite pour des impayés au logement de fonction de la défunte, 58 ans, en arrêt maladie depuis plusieurs années.
C'est un homme de 49 ans, se présentant comme le compagnon de la défunte, qui leur a ouvert les lieux après avoir tenté en vain de les mener sur de fausses pistes. Mais l'huissier et le policier sont néanmoins parvenus à franchir deux portes calfeutrées les menant dans la chambre à coucher, où gisait sur le lit un corps quasi-momifié, a-t-on indiqué de source policière, confirmant une information du quotidien Sud Ouest.
L'homme a été placé en garde à vue et a expliqué aux enquêteurs avoir retrouvé son ex-concubine décédée de mort naturelle un soir de novembre 2013. Il n'avait pas signalé sa mort pour continuer à percevoir les allocations de la défunte, a-t-il dit. Ce Landais sans emploi aurait ainsi perçu 1.900 euros par mois et utilisé la voiture de son ex-concubine pendant un an.
Un homme de 49 ans a caché le corps de sa compagne pendant un an pour pouvoir continuer à toucher des allocations de la défunte décédée selon lui de mort naturelle, a-t-on appris jeudi de source policière.
La macabre découverte a été effectuée mercredi matin par une femme huissier de justice escortée d'un policier, lors d'une visite pour des impayés au logement de fonction de la défunte, 58 ans, en arrêt maladie depuis plusieurs années.
C'est un homme de 49 ans, se présentant comme le compagnon de la défunte, qui leur a ouvert les lieux après avoir tenté en vain de les mener sur de fausses pistes. Mais l'huissier et le policier sont néanmoins parvenus à franchir deux portes calfeutrées les menant dans la chambre à coucher, où gisait sur le lit un corps quasi-momifié, a-t-on indiqué de source policière, confirmant une information du quotidien Sud Ouest.
L'homme a été placé en garde à vue et a expliqué aux enquêteurs avoir retrouvé son ex-concubine décédée de mort naturelle un soir de novembre 2013. Il n'avait pas signalé sa mort pour continuer à percevoir les allocations de la défunte, a-t-il dit. Ce Landais sans emploi aurait ainsi perçu 1.900 euros par mois et utilisé la voiture de son ex-concubine pendant un an.

Chien
Emu par le sort de Max, un berger allemand ayant servi en Afghanistan, le ministre roumain de la Défense Mircea Dusa a demandé lundi à des experts de rédiger un projet de loi visant à la prise en charge des chiens militaires à la retraite.
Après avoir participé à deux missions en Afghanistan, où il a été utilisé pour la détection d'explosifs, Max, âgé de cinq ans, a contracté une grave maladie l'empêchant de poursuivre son service.
Alors que la législation ne prévoit pas d'allocations budgétaires pour les chiens militaires retraités, il a failli être mis dans un refuge pour chiens abandonnés où il risquait d'être euthanasié, selon les médias. "Envoyé à la mort par ceux dont il a sauvé la vie": les médias roumains n'ont pas mâché leurs mots contre le ministère, tandis qu'une pétition en ligne lancée dimanche pour "sauver Max, le chien-héros" a déjà recueilli près de 27.000 signatures.
Devant cet émoi, M. Dusa a demandé à ses subordonnés de rédiger avant la fin de la semaine "des normes et des instructions" visant la prise en charge des chiens retraités et appelé les experts parlementaires à élaborer un projet de loi pour doter le ministère d'un budget à cet effet.
Une amoureuse des animaux a néanmoins pris les devants et adopté Max, et des volontaires ont ouvert des comptes en banque pour recueillir les fonds nécessaires - environ 150 euros par mois pendant trois ans - pour le faire soigner.
Emu par le sort de Max, un berger allemand ayant servi en Afghanistan, le ministre roumain de la Défense Mircea Dusa a demandé lundi à des experts de rédiger un projet de loi visant à la prise en charge des chiens militaires à la retraite.
Après avoir participé à deux missions en Afghanistan, où il a été utilisé pour la détection d'explosifs, Max, âgé de cinq ans, a contracté une grave maladie l'empêchant de poursuivre son service.
Alors que la législation ne prévoit pas d'allocations budgétaires pour les chiens militaires retraités, il a failli être mis dans un refuge pour chiens abandonnés où il risquait d'être euthanasié, selon les médias. "Envoyé à la mort par ceux dont il a sauvé la vie": les médias roumains n'ont pas mâché leurs mots contre le ministère, tandis qu'une pétition en ligne lancée dimanche pour "sauver Max, le chien-héros" a déjà recueilli près de 27.000 signatures.
Devant cet émoi, M. Dusa a demandé à ses subordonnés de rédiger avant la fin de la semaine "des normes et des instructions" visant la prise en charge des chiens retraités et appelé les experts parlementaires à élaborer un projet de loi pour doter le ministère d'un budget à cet effet.
Une amoureuse des animaux a néanmoins pris les devants et adopté Max, et des volontaires ont ouvert des comptes en banque pour recueillir les fonds nécessaires - environ 150 euros par mois pendant trois ans - pour le faire soigner.