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Collision
Un inconnu a volé dans la nuit de mardi à mercredi un train dans un dépôt près de Moscou et a provoqué en le conduisant un accident avec un autre train vide stationné sur les voies, a-t-on appris dans les médias russes.
La collision, qui a eu lieu à 23H20 GMT dans l'enceinte du dépôt situé à 30 kilomètres au nord de Moscou, n'a fait aucun blessé, selon l'agence de presse russe Interfax.
La télévision russe diffusait des images montrant une des locomotives éventrée, la tôle des wagons gisant sur les rails, tandis que des policiers, aidés par des chiens, s'affairaient sur le lieu de l'accident pour retrouver la piste du voleur.
"S'il s'agit d'hooliganisme, cela peut mener jusqu'à cinq ans de prison", a prévenu Valentina Chiekina, porte-parole de la direction des transports au sein du ministère des Affaires intérieures.
L'autre version privilégiée par les enquêteurs, selon la chaîne de télévision Pervi Kanal, est celle d'un vol effectué par un employé des chemins de fer, l'accès au dépôt étant sécurisé pour ceux n'y travaillant pas.
En mai, une collision entre un train de passagers et un convoi de marchandises au sud de Moscou avait fait cinq morts et au moins quarante-cinq blessés.
Un inconnu a volé dans la nuit de mardi à mercredi un train dans un dépôt près de Moscou et a provoqué en le conduisant un accident avec un autre train vide stationné sur les voies, a-t-on appris dans les médias russes.
La collision, qui a eu lieu à 23H20 GMT dans l'enceinte du dépôt situé à 30 kilomètres au nord de Moscou, n'a fait aucun blessé, selon l'agence de presse russe Interfax.
La télévision russe diffusait des images montrant une des locomotives éventrée, la tôle des wagons gisant sur les rails, tandis que des policiers, aidés par des chiens, s'affairaient sur le lieu de l'accident pour retrouver la piste du voleur.
"S'il s'agit d'hooliganisme, cela peut mener jusqu'à cinq ans de prison", a prévenu Valentina Chiekina, porte-parole de la direction des transports au sein du ministère des Affaires intérieures.
L'autre version privilégiée par les enquêteurs, selon la chaîne de télévision Pervi Kanal, est celle d'un vol effectué par un employé des chemins de fer, l'accès au dépôt étant sécurisé pour ceux n'y travaillant pas.
En mai, une collision entre un train de passagers et un convoi de marchandises au sud de Moscou avait fait cinq morts et au moins quarante-cinq blessés.

Drone
Les autorités chinoises ont mobilisé plus de 1.200 soldats et déployé deux avions de chasse, en réaction au vol non autorisé d'un drone privé réalisant des études topographiques, non loin de l'aéroport de Pékin, ont indiqué des médias d'Etat.
Trois hommes ont été inculpés par la justice suite à l'incident, survenu en décembre dernier mais révélé récemment, a précisé le China Daily.
Selon les procureurs ayant instruit l'affaire, 1.226 membres de l'armée, 123 véhicules militaires, 26 techniciens spécialisés, deux hélicoptères et deux avions de chasse, avaient été rapidement dépêchés sur les lieux pour intercepter cet aéronef non identifié apparu sur les écrans radars.
La police a arrêté les deux hommes qui manipulaient le drone, tandis qu'un troisième a confessé ultérieurement sa part de responsabilité, selon le journal.
Tous trois travaillaient pour une entreprise de technologie aéronautique, et le drone de 2,6 mètres d'envergure qu'ils faisaient voler ce jour-là était destiné à des usages d'études topographiques et de cartographie, a ajouté le China Daily.
En raison de ce drone et de la mobilisation qui avait suivi, 10 vols au départ de l'aéroport de Pékin avait été retardés, provoquant des pertes financières de quelque 18.000 yuans (2.300 euros) pour la compagnie Air China, à en croire le quotidien.
La Chine interdit strictement tout vol d'aéronef --avec personne à bord ou télécommandé depuis le sol-- sans autorisation préalable de l'armée, des autorités de l'aviation civile et du bureau local de contrôle du trafic aérien.
Ainsi, un photographe néozélandais avait réussi à prendre au printemps des images aériennes spectaculaires de la Cité interdite grâce à un petit drone... ce qui lui a valu d'être interpellé par les forces de police et conduit au poste pour s'expliquer.
Il avait été arrêté alors qu'il manœuvrait l'appareil à proximité de Zhongnanhai, complexe ultra-sécurisé qui abrite le siège du gouvernement chinois. Il avait été remis en liberté le lendemain, mais son drone avait été confisqué.
Les autorités chinoises ont mobilisé plus de 1.200 soldats et déployé deux avions de chasse, en réaction au vol non autorisé d'un drone privé réalisant des études topographiques, non loin de l'aéroport de Pékin, ont indiqué des médias d'Etat.
Trois hommes ont été inculpés par la justice suite à l'incident, survenu en décembre dernier mais révélé récemment, a précisé le China Daily.
Selon les procureurs ayant instruit l'affaire, 1.226 membres de l'armée, 123 véhicules militaires, 26 techniciens spécialisés, deux hélicoptères et deux avions de chasse, avaient été rapidement dépêchés sur les lieux pour intercepter cet aéronef non identifié apparu sur les écrans radars.
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Il avait été arrêté alors qu'il manœuvrait l'appareil à proximité de Zhongnanhai, complexe ultra-sécurisé qui abrite le siège du gouvernement chinois. Il avait été remis en liberté le lendemain, mais son drone avait été confisqué.