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Peluches Ebola
Si le virus Ebola inquiète les autorités du monde entier, il fait aussi quelques heureux : une entreprise américaine vendant des peluches éducatives en forme de microbe n'arrive plus à répondre à la demande pour ses modèles Ebola.
"En rupture de stock", pouvait-on lire vendredi sur le site Internet de la compagnie Giant microbes Inc, basée dans le Connecticut (nord-est), en face des modèles "Virus Ebola" à 9,95 dollars, "Virus Ebola, poupée géante" à 29,95 dollars et "éprouvette Ebola" à 14,95 dollars.
L'entreprise qui avait démarré en 2002 avec quatre modèles, vend ajourd'hui plus de 150 microbes différents, taille standard ou géante (60 cm). "Ce sont des jouets, des outils éducatifs et aussi des cadeaux amusants pour quiconque a le sens de l'humour", précise-t-elle, en ajoutant que la forme de la peluche est "basée scientifiquement sur une image au microscope du vrai microbe".
Elle affirme en avoir vendu plus de 10 millions dans le monde entier.
Parmi les autres microbes en vente dans son catalogue, l'anthrax, le cancer du sein, la varicelle, la gonorrhée ou encore la diarrhée.
Carte de crédit
d’Obama
"Heureusement, Michelle avait la sienne!": Barack Obama a raconté vendredi comment sa carte de crédit avait été refusée il y a quelques semaines dans un restaurant new-yorkais.
"Je suis allé dans un restaurant à New York durant l'Assemblée générale de l'ONU et ma carte de crédit a été rejetée", a raconté M. Obama, déclenchant les rires des fonctionnaires venus l'écouter présenter des mesures pour lutter contre la fraude à la carte bancaire et l'usurpation d'identité.
"J'imagine que c'est parce que je ne l'utilise pas assez (...) Ils ont dû croire qu'il devait y avoir une histoire de fraude", a-t-il poursuivi. "J'ai essayé d'expliquer à la serveuse que j'avais bien payé mes factures...".
Interrogé un peu plus tard lors de son point de presse quotidien sur les raisons exactes du rejet de la carte de crédit présidentielle, le porte-parole de la Maison Blanche a assuré ne pas disposer de la moindre information sur le sujet.
M. Obama a signé un décret imposant aux administrations fédérales d'utiliser la technologie des cartes de crédit et paiements utilisant un code secret et une puce électronique.
Si le virus Ebola inquiète les autorités du monde entier, il fait aussi quelques heureux : une entreprise américaine vendant des peluches éducatives en forme de microbe n'arrive plus à répondre à la demande pour ses modèles Ebola.
"En rupture de stock", pouvait-on lire vendredi sur le site Internet de la compagnie Giant microbes Inc, basée dans le Connecticut (nord-est), en face des modèles "Virus Ebola" à 9,95 dollars, "Virus Ebola, poupée géante" à 29,95 dollars et "éprouvette Ebola" à 14,95 dollars.
L'entreprise qui avait démarré en 2002 avec quatre modèles, vend ajourd'hui plus de 150 microbes différents, taille standard ou géante (60 cm). "Ce sont des jouets, des outils éducatifs et aussi des cadeaux amusants pour quiconque a le sens de l'humour", précise-t-elle, en ajoutant que la forme de la peluche est "basée scientifiquement sur une image au microscope du vrai microbe".
Elle affirme en avoir vendu plus de 10 millions dans le monde entier.
Parmi les autres microbes en vente dans son catalogue, l'anthrax, le cancer du sein, la varicelle, la gonorrhée ou encore la diarrhée.
Carte de crédit
d’Obama
"Heureusement, Michelle avait la sienne!": Barack Obama a raconté vendredi comment sa carte de crédit avait été refusée il y a quelques semaines dans un restaurant new-yorkais.
"Je suis allé dans un restaurant à New York durant l'Assemblée générale de l'ONU et ma carte de crédit a été rejetée", a raconté M. Obama, déclenchant les rires des fonctionnaires venus l'écouter présenter des mesures pour lutter contre la fraude à la carte bancaire et l'usurpation d'identité.
"J'imagine que c'est parce que je ne l'utilise pas assez (...) Ils ont dû croire qu'il devait y avoir une histoire de fraude", a-t-il poursuivi. "J'ai essayé d'expliquer à la serveuse que j'avais bien payé mes factures...".
Interrogé un peu plus tard lors de son point de presse quotidien sur les raisons exactes du rejet de la carte de crédit présidentielle, le porte-parole de la Maison Blanche a assuré ne pas disposer de la moindre information sur le sujet.
M. Obama a signé un décret imposant aux administrations fédérales d'utiliser la technologie des cartes de crédit et paiements utilisant un code secret et une puce électronique.
