Autres articles
-
Trump se déguise en pape sur les réseaux sociaux et s'attire des critiques
-
Le Royaume-Uni forcé de revoir le service du thé à l'exposition universelle d'Osaka
-
Déclin des populations d'oiseaux en Amérique du Nord
-
Louer une poule, nouvelle mode contre la flambée du prix des œufs aux Etats-Unis
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde

Parfums
Le gouvernement cubain a dénoncé l’attitude “irresponsable” d’une entreprise publique ayant présenté deux parfums sous les noms d’”Ernesto” (“Che” Guevara) et d’”Hugo” (Chavez, l’ex-président vénézuélien), et promis de sanctionner les responsables.
“Pour cette grave erreur, les mesures disciplinaires qui s’imposent seront prises” car “des initiatives de cette nature ne seront jamais tolérées par notre peuple ni par le gouvernement révolutionnaire”, explique dans un communiqué, publié dans le quotidien officiel Granma, le Conseil des ministres que dirige le président Raul Castro. Ce texte ajoute que “les détails de cette action irresponsable ont été analysés en profondeur avec le directeur de l’entreprise et les employés ayant présenté le produit, encore en phase de développement et donc pas encore produit commercialement, ni même enregistré”.
A l’occasion d’un congrès à La Havane, le groupe Labiofam avait présenté les deux parfums qui “auraient porté les noms d’+Ernesto+ et d’+Hugo+, prétendument en +hommage+ aux commandants Ernesto Che Guevara et Hugo Chavez Frías”, poursuit le communiqué.
Au cours d’une réunion, “il a été établi qu’il était faux que des proches du +Che+ et de Chavez aient approuvé cette utilisation de leurs noms, comme l’avait indiqué un employé” de cette entreprise publique à des médias étrangers.
Labiofam est l’un des principaux laboratoires pharmaceutiques de Cuba : il se consacre à la recherche et à la mise au point de produits vétérinaires et de santé qui sont ensuite exportés.

Crâne
Une Iséroise a retrouvé le week-end dernier deux crânes humains au fond d’une cave dont elle venait de faire l’acquisition, a-t-on appris mercredi auprès de la gendarmerie, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Cette habitante de La-Balme-les-Grottes (Isère-France) a immédiatement prévenu la gendarmerie qui a ouvert une enquête.
Les crânes, l’un massif et l’autre plus étroit, ont été envoyés pour analyse à l’Institut médico-légal de Lyon.
L’ancien propriétaire de la cave ayant été le fossoyeur de la commune pendant de nombreuses années, il est possible que ces crânes soient issus de concessions parvenues à leur terme, selon la gendarmerie.
“A priori, ce n’est pas crapuleux. Aucun autre ossement n’a été retrouvé”, selon la même source.