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Voiturier
Le voiturier d'un hôtel cinq étoiles de New Delhi a malencontreusement percuté un mur au volant de la Lamborghini Gallardo d'un client qui réclame 250.000 euros de réparations, ont indiqué jeudi un quotidien indien et l'hôtel.
Une photo publiée par The Times of India montre le bolide de luxe complètement enfoncé à l'avant, la tôle du capot pliée par l'impact contre un muret à l'entrée de l'hôtel Le Méridien.
"Nous recevons toutes sortes de voitures de luxe, des clients importants et organisons des événements exceptionnels et ce qui s'est produit est complètement involontaire", a dit une porte-parole de l'hôtel à l'AFP, précisant que l'accident s'est produit jeudi 3 juillet.
Le voiturier travaille depuis 10 ans pour l'hôtel et semble avoir perdu le contrôle du bolide sur un parterre rendu glissant par une grosse averse, a-t-elle dit. Il a été légèrement blessé à la tête.
Les images des caméras de surveillance de l'hôtel montrent le voiturier conduisant la voiture du parking vers le porche de l'hôtel et en sortir rapidement, selon The Times of India.
Il remonte ensuite à bord et fait une brusque et inexplicable embardée, forçant un de ses collègues à plonger pour éviter le bolide qui se fracasse contre le muret.
La Lamborghini avait été prêtée par son propriétaire, un entrepreneur du BTP, à un cousin.
Une enquête a été ouverte visant Le Méridien, qui refuse d'endosser la responsabilité de l'accident, tout comme le voiturier. Le propriétaire estime les réparations à 20 millions de roupies (250.000 euros).
La Lamborghini Gallardo, du nom d'un taureau de combat, peut atteindre plus de 320 km/h. Elle est vendue en Europe autour de 180.000 euros mais les taxes d'importation peuvent multiplier son prix par deux en Inde.

Prénom
L'état-civil de ce petit Brésilien l'atteste: il s'appelle "Zinedine Yazid Zidane Thierry Henry Barthez Eric Felipe Silva Santos".
Mais, à l'âge de sept ans, il essaie toujours de retenir les noms des joueurs français que son père, un inconditionnel de la France, lui a donnés.
Le petit Zidane, comme l'appellent, pour faire simple, les amis de la famille, répète aisément ses trois premiers noms, mais après il se perd dans la prononciation: "Je ne sais pas encore, je n'ai jamais appris", déplore l'enfant, interrogé par le site d'information G1 de Globo.
Habitant de la banlieue de Maceio, la capitale du petit Etat pauvre d'Alagoas (nord-est), son père explique que le nom de son plus jeune fils rend hommage à trois joueurs français de la Coupe de 2006: Zinedine Yazid Zidane, Thierry Henry, et au gardien de but Fabien Barthez. Eric est une référence à Éric Cantona.
Les derniers sont plus faciles : "Felipe" est à la gloire du sélectionneur brésilien Luiz Felipe Scolari. Et finalement "Silva Santos" sont les noms hérités de la famille.
La passion du père, Petrucio Santos, pour la France lui est venue d'un voyage effectué il y a plusieurs années dans l'Hexagone où vivent deux de ses filles.
"J'ai été conquis par la gentillesse des Français et j'ai décidé d'apprendre la langue pour pouvoir parler sans être ridicule si j'y retourne", affirme ce petit commerçant "passionné de football".
Leur maison est la seule de Ponta Grossa (périphérie de Maceio) qui arbore un drapeau français sur le mur, à côté de celui du Brésil.
Mais le petit Zidane brésilien aime-t-il son nom?
"Non, j'aurais voulu m'appeler Luiz Gustavo!", milieu récupérateur de la Seleçao, dit-il sans sourciller.