Autres articles
-
Etre footballeuse avec un bébé n'est plus une rareté
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols

Bébé
Un groupe de médecins péruviens de la ville d’Arequipa (sud) a découvert huit aiguilles de métal dans le corps d’une petite fille de sept mois, dont le cas fait l’objet d’une enquête policière, ont informé vendredi les médias.
“C’est le premier cas de ce genre traité à l’hôpital Honorio Delgado, ce cas est très complexe et n’a pas d’explication logique”, a indiqué à la presse le directeur de l’hôpital César Linares.
M. Linares a expliqué que la mère a amené sa fille à l’hôpital car l’enfant pleurait beaucoup et se plaignait. “Après avoir réalisé des analyses puis une radiographie, nous avons détecté dans son corps des aiguilles à coudre, qui, miraculeusement, n’ont endommagé aucun organe”.
“Les aiguilles ont obligatoirement dû être introduites par un adulte”, a indiqué M. Linares, en soulignant “qu’il est impossible que cela ait été accidentel”.
Les aiguilles découvertes cette semaine, longues d’environ trois centimètres, se trouvent dans les jambes et le thorax de l’enfant.
Une intervention chirurgicale a eu lieu lundi dernier pour les lui retirer.
L’état de santé de l’enfant, toujours hospitalisée, est stable. La police de la ville d’Arequipa a ouvert une enquête sur ce cas, entendant comme premiers témoins les parents de la petite fille.

Revenant
On dirait une scène d’un film d’horreur. Pourtant, ceux qui y assistaient ne sont pas prêts d’oublier de leur vivant le spectacle terrifiant qui se déroulait devant leurs regards, lundi dernier, dans une église de Rome: un homme donné pour mort depuis deux jours, des suites d’un arrêt cardiaque, sort de son cercueil en plein cérémonie funèbre et attaque le prêtre venu officier les obsèques.
Pétrifiées de voir le cercueil du “défunt”, un Romain de 53 ans, en train de bouger, les personnes qui assistaient aux funérailles ne revenaient pas de leur surprise en voyant, juste quelques instants avant la clôture de la cérémonie funèbre, Flavio M. donner un violent coup au couvercle du cercueil pour en sortir, attaquant le prêtre qui restait de marbre en voyant “le mort ressuscité” se ruer vers lui, à en croire la presse italienne.
L’agression a coûté au prêtre dix points de sutures au cou, alors que “le mort ressuscité”, qui avait perdu conscience quelques instants après, a été transporté à l’hôpital. Ses jours ne sont pas en danger.