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Désillusion
Un restaurant chinois au nom tiré des Evangiles et où les clients peuvent manger à volonté en payant ce qu’ils veulent est menacé de fermeture, la réalité ayant mis à rude épreuve les généreuses intentions de son propriétaire.
L’établissement, baptisé “Les cinq pains et les deux poissons” en référence au miracle de Jésus multipliant ces aliments pour nourrir la foule, a ouvert ses portes en août dans le centre de Fuzhou (sud-est). Il propose nuit et jour des plats chauds et du café. Assiégé de clients, le restaurant s’est fait une réputation pour ses fruits de mer et spécialités de la province du Fujian — Saint-Jacques à l’ail, boeuf à la ciboule —, mais sa célébrité tient surtout à son fonctionnement “communautaire”.
Ici, pas d’addition: les consommateurs sont censés laver leurs assiettes et bols avant de partir, et invités à verser une somme laissée à leur discrétion, dans une grande urne dans un coin de la salle.
Mais tous ne jouent pas le jeu: selon les investisseurs du restaurant, au moins un client sur cinq ne donne rien du tout et, en conséquence, l’établissement a enregistré 250.000 yuans (30.000 euros) de pertes depuis son ouverture.
“Nous avions pensé tenir deux mois, et le restaurant est maintenant ouvert depuis trois mois. Mais les pertes ne sont plus supportables”, s’est lamenté Liu Pengfei, propriétaire de l’établissement, dans des propos rapportés par le journal China Daily.
Un restaurant chinois au nom tiré des Evangiles et où les clients peuvent manger à volonté en payant ce qu’ils veulent est menacé de fermeture, la réalité ayant mis à rude épreuve les généreuses intentions de son propriétaire.
L’établissement, baptisé “Les cinq pains et les deux poissons” en référence au miracle de Jésus multipliant ces aliments pour nourrir la foule, a ouvert ses portes en août dans le centre de Fuzhou (sud-est). Il propose nuit et jour des plats chauds et du café. Assiégé de clients, le restaurant s’est fait une réputation pour ses fruits de mer et spécialités de la province du Fujian — Saint-Jacques à l’ail, boeuf à la ciboule —, mais sa célébrité tient surtout à son fonctionnement “communautaire”.
Ici, pas d’addition: les consommateurs sont censés laver leurs assiettes et bols avant de partir, et invités à verser une somme laissée à leur discrétion, dans une grande urne dans un coin de la salle.
Mais tous ne jouent pas le jeu: selon les investisseurs du restaurant, au moins un client sur cinq ne donne rien du tout et, en conséquence, l’établissement a enregistré 250.000 yuans (30.000 euros) de pertes depuis son ouverture.
“Nous avions pensé tenir deux mois, et le restaurant est maintenant ouvert depuis trois mois. Mais les pertes ne sont plus supportables”, s’est lamenté Liu Pengfei, propriétaire de l’établissement, dans des propos rapportés par le journal China Daily.

Chimpanzés
Les chimpanzés peuvent-ils prétendre aux droits de l’Homme? Une organisation de défense des animaux vient en tout cas de saisir la justice américaine pour faire établir qu’ils sont “légalement des personnes”.
Le “Non Human Rights Project”, a saisi lundi la justice à Johnstown, dans l’Etat de New York, au nom de Tommy, un chimpanzé actuellement en cage sur un terrain pour caravanes dans la localité toute proche de Gloversville.
Elle prévoyait de faire de même mardi à Niagara Falls (Etat de New York) au nom de Kiko, un chimpanzé sourd, à Niagara Falls, propriété d’un particulier, et jeudi pour deux autres primates, Hercules et Leo, propriétés d’un centre de recherches à Long Island.
L’association, qui se présente comme la seule organisation travaillant à la défense “des espèces autres que la nôtre”, demande à la justice de reconnaître aux chimpanzés leur “liberté de mouvement”, et d’ordonner qu’ils soient envoyés dans un sanctuaire pour primates en Amérique du Nord, afin qu’ils puissent vivre “parmi les leurs dans un univers aussi proche que possible de l’état sauvage”.
L’association a fait la demande d’un mandat d’habeas corpus, qui énonce la liberté fondamentale de ne pas être emprisonné sans jugement. Elle souligne que les tribunaux de New York avaient permis aux esclaves d’utiliser le mandat (d’habeas corpus) pour établir qu’ils n’étaient pas une propriété et avaient droit à la liberté.
Les chimpanzés peuvent-ils prétendre aux droits de l’Homme? Une organisation de défense des animaux vient en tout cas de saisir la justice américaine pour faire établir qu’ils sont “légalement des personnes”.
Le “Non Human Rights Project”, a saisi lundi la justice à Johnstown, dans l’Etat de New York, au nom de Tommy, un chimpanzé actuellement en cage sur un terrain pour caravanes dans la localité toute proche de Gloversville.
Elle prévoyait de faire de même mardi à Niagara Falls (Etat de New York) au nom de Kiko, un chimpanzé sourd, à Niagara Falls, propriété d’un particulier, et jeudi pour deux autres primates, Hercules et Leo, propriétés d’un centre de recherches à Long Island.
L’association, qui se présente comme la seule organisation travaillant à la défense “des espèces autres que la nôtre”, demande à la justice de reconnaître aux chimpanzés leur “liberté de mouvement”, et d’ordonner qu’ils soient envoyés dans un sanctuaire pour primates en Amérique du Nord, afin qu’ils puissent vivre “parmi les leurs dans un univers aussi proche que possible de l’état sauvage”.
L’association a fait la demande d’un mandat d’habeas corpus, qui énonce la liberté fondamentale de ne pas être emprisonné sans jugement. Elle souligne que les tribunaux de New York avaient permis aux esclaves d’utiliser le mandat (d’habeas corpus) pour établir qu’ils n’étaient pas une propriété et avaient droit à la liberté.