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Braquage
On peut être à la fois bon braqueur et bon payeur : un quinquagénaire tchèque a attaqué une banque de Prague, a réglé une dette privée, puis a appelé la police pour payer celle due à la société.
L'homme, âgé de 48 ans, a ainsi volé lundi dans une banque de banlieue de la capitale tchèque "plusieurs dizaines de milliers de couronnes" (1 EUR = 27,5 CZK), a raconté mercredi à l'AFP le porte-parole de la police, Tomas Hulan.
Selon lui, l'homme est entré à visage découvert dans une agence bancaire, a fait la queue comme tout le monde. Une fois arrivé devant le guichet, il a montré à l'employée un bout de papier indiquant qu'il avait un pistolet caché dans sa serviette.
"Dix minutes plus tard, il a appelé le 158 (numéro d'appel d'urgence de la police, ndlr) pour avouer les faits et promettre de se rendre à la police, ce qu'il a fait le lendemain soir", a déclaré M. Hulan.
Le bandit amateur a expliqué son acte par la nécessité de payer une dette à des "gens gentils" qui l'avaient aidé financièrement après qu'il eut été victime d'un vol.
"L'homme était irréprochable jusqu'à présent. C'est pourquoi il reste en liberté le temps de l'enquête. Il risque entre 2 et 10 ans de prison", a précisé le porte-parole.
On peut être à la fois bon braqueur et bon payeur : un quinquagénaire tchèque a attaqué une banque de Prague, a réglé une dette privée, puis a appelé la police pour payer celle due à la société.
L'homme, âgé de 48 ans, a ainsi volé lundi dans une banque de banlieue de la capitale tchèque "plusieurs dizaines de milliers de couronnes" (1 EUR = 27,5 CZK), a raconté mercredi à l'AFP le porte-parole de la police, Tomas Hulan.
Selon lui, l'homme est entré à visage découvert dans une agence bancaire, a fait la queue comme tout le monde. Une fois arrivé devant le guichet, il a montré à l'employée un bout de papier indiquant qu'il avait un pistolet caché dans sa serviette.
"Dix minutes plus tard, il a appelé le 158 (numéro d'appel d'urgence de la police, ndlr) pour avouer les faits et promettre de se rendre à la police, ce qu'il a fait le lendemain soir", a déclaré M. Hulan.
Le bandit amateur a expliqué son acte par la nécessité de payer une dette à des "gens gentils" qui l'avaient aidé financièrement après qu'il eut été victime d'un vol.
"L'homme était irréprochable jusqu'à présent. C'est pourquoi il reste en liberté le temps de l'enquête. Il risque entre 2 et 10 ans de prison", a précisé le porte-parole.

Enquête
Les autorités judiciaires turques ont ouvert une enquête contre un juge et un procureur d'Ankara aperçus en train de somnoler lundi lors du procès d'un policier accusé d'avoir tué un manifestant en juin, ont rapporté les médias turcs.
Manifestement prises grâce à un téléphone portable, les images de ces deux magistrats affalés sur leur bureau en pleine audience ont fait les délices des médias sociaux et contraint l'organe en charge de nommer ou de sanctionner les personnels judiciaires à s'intéresser de près à leurs cas.
Ce Haut-conseil des juges et procureurs (HSYK) a saisi les enregistrements vidéos de l'audience de lundi pour les visionner et, éventuellement, engager une procédure disciplinaire contre les deux magistrats à cours de sommeil.
L'incident a fait l'objet de nombreuses critiques sur Twitter, où des centaines d'usagers ont publié la même image recouverte du même graffiti "la police tire, les juges dorment, ne restez pas silencieux".
Depuis le mois de septembre, un policier identifié sous le nom de Ahmet S. est jugé devant ce tribunal d'Ankara pour avoir ouvert le feu et tué un ouvrier communiste de 26 ans, Ethem Sarisuluk, lors d'une manifestation antigouvernementale le 1er juin dernier dans la capitale turque.