Autres articles
-
Avec un gâteau de 121 mètres, la France récupère le record du plus grand fraisier du monde
-
Une ONG américaine recommande d'interdire les compagnons IA aux mineurs
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté

Serpents
La police japonaise a découvert pas moins de 80 reptiles, dont un serpent de trois mètres de long et des lézards venimeux, dans un appartement d'une pièce à Osaka, dans l'ouest du pays.
Des policiers avaient été alertés par un voisin en panique qui venait de voir un gros serpent en train de ramper sur un mur juste à l'extérieur de son propre appartement, a indiqué la police.
Quand ils ont pénétré dans l'appartement de 10 mètres carrés, les agents ont découvert les reptiles, dont un boa constrictor de 3 mètres, dans des cages individuelles.
Le propriétaire de cette incroyable ménagerie, un homme de 40 ans, n'a pas été arrêté mais le dossier a été transmis à la justice, la police estimant qu'il avait pu contrevenir à la loi sur le bien-être des animaux.
"Il nous a dit qu'il gardait ces reptiles comme animaux de compagnie et les nourrissait avec des souris congelées. Nous enquêtons pour savoir comment il s'est procuré tous ces animaux", a indiqué un policier.
La police japonaise a découvert pas moins de 80 reptiles, dont un serpent de trois mètres de long et des lézards venimeux, dans un appartement d'une pièce à Osaka, dans l'ouest du pays.
Des policiers avaient été alertés par un voisin en panique qui venait de voir un gros serpent en train de ramper sur un mur juste à l'extérieur de son propre appartement, a indiqué la police.
Quand ils ont pénétré dans l'appartement de 10 mètres carrés, les agents ont découvert les reptiles, dont un boa constrictor de 3 mètres, dans des cages individuelles.
Le propriétaire de cette incroyable ménagerie, un homme de 40 ans, n'a pas été arrêté mais le dossier a été transmis à la justice, la police estimant qu'il avait pu contrevenir à la loi sur le bien-être des animaux.
"Il nous a dit qu'il gardait ces reptiles comme animaux de compagnie et les nourrissait avec des souris congelées. Nous enquêtons pour savoir comment il s'est procuré tous ces animaux", a indiqué un policier.

Excuse
Il n’avait pas la conscience tranquille. 35 ans après avoir volé la carte de bus d’un jeune étranger sur les marches du Muséum américain d’histoire naturelle, à New York, Michael Goodman a tenu à s’excuser auprès de sa victime, Claude Soffel, qu’il a reconnu au hasard d’une navigation sur Facebook.
"Vous ne vous en souvenez peut-être pas (c'était en 76 ou 77) mais il y a longtemps, je suis monté sur les marches du musée d'histoire naturelle, essayant de passer pour un mec fort et je vous ai vu au sommet des marches, je suis venu vers vous et vous ai agressé pour vous voler votre pass de bus", explique Michael Goodman dans son poste.
"Je peux enfin dire – Je suis vraiment désolé que vous ayez eu à en passer par là ce jour-là, j'aurais aimé que ça n'arrive pas, mais c'est arrivé. J'essayais d'impressionner quelqu'un qui ne voulait pas croire que je faisais partie d'un gang, c'est stupide non ? Encore une fois, je suis sincèrement désolé d'avoir pris votre pass de bus à l'époque - pardonnez-moi."
Et à peine quelques heures plus tard, Claude Soffel s’est fendu d’une réponse tout aussi touchante : "Excuses acceptées. J'ai dédié une grande partie de ma vie à aider les autres à devenir ce qu'ils ont toujours voulu être, et des moments comme celui-ci continuent d'alimenter ma foi que ce combat est peut-être ardu, mais gratifiant [...] Mettons maintenant cette histoire à sa place : derrière nous."
Interrogé par le New York Post, Michael Goodman, qui habite aujourd’hui à Hawaï avec son fils de 13 ans, a avoué que cette réconciliation par claviers interposés lui a "enlevé un énorme poids des épaules". "Cette histoire m'apporte la paix, et même la joie. Je suis encore plus heureux qu'elle apporte de la joie à d'autres personnes."
Il n’avait pas la conscience tranquille. 35 ans après avoir volé la carte de bus d’un jeune étranger sur les marches du Muséum américain d’histoire naturelle, à New York, Michael Goodman a tenu à s’excuser auprès de sa victime, Claude Soffel, qu’il a reconnu au hasard d’une navigation sur Facebook.
"Vous ne vous en souvenez peut-être pas (c'était en 76 ou 77) mais il y a longtemps, je suis monté sur les marches du musée d'histoire naturelle, essayant de passer pour un mec fort et je vous ai vu au sommet des marches, je suis venu vers vous et vous ai agressé pour vous voler votre pass de bus", explique Michael Goodman dans son poste.
"Je peux enfin dire – Je suis vraiment désolé que vous ayez eu à en passer par là ce jour-là, j'aurais aimé que ça n'arrive pas, mais c'est arrivé. J'essayais d'impressionner quelqu'un qui ne voulait pas croire que je faisais partie d'un gang, c'est stupide non ? Encore une fois, je suis sincèrement désolé d'avoir pris votre pass de bus à l'époque - pardonnez-moi."
Et à peine quelques heures plus tard, Claude Soffel s’est fendu d’une réponse tout aussi touchante : "Excuses acceptées. J'ai dédié une grande partie de ma vie à aider les autres à devenir ce qu'ils ont toujours voulu être, et des moments comme celui-ci continuent d'alimenter ma foi que ce combat est peut-être ardu, mais gratifiant [...] Mettons maintenant cette histoire à sa place : derrière nous."
Interrogé par le New York Post, Michael Goodman, qui habite aujourd’hui à Hawaï avec son fils de 13 ans, a avoué que cette réconciliation par claviers interposés lui a "enlevé un énorme poids des épaules". "Cette histoire m'apporte la paix, et même la joie. Je suis encore plus heureux qu'elle apporte de la joie à d'autres personnes."