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Chat dealer
Les gardes en prison surveillent ardemment les personnes venant rendre visites aux détenus pour éviter que des substances illicites, des armes blanches ou des téléphones portables viennent du monde extérieur. Mais qui aurait pensé devoir un jour fouiller un chat ? Des gardes d’une prison en Moldavie ont eu cette impression qu’un chat importait de la drogue au sein de l’établissement pénitentiaire.
Récemment, les gardes de cette prison située aux environs du village de Pruncul ont mis la main sur un chat transportant deux sachets de résine de cannabis. Les officiers pénitentiaires ont eu la puce à l’oreille en observant que le félin réalisait de nombreux allers-retours entre l’établissement et l’extérieur. L’animal échappait à la surveillance des gardes en passant par un trou dans le mur. Après avoir observé les allées et venues de ce chat gris et blanc, les officiers ont remarqué que l’animal portait un collier très particulier.
En effet, ce collier était loin d’être banal puisqu’il était constitué de deux sachets de cannabis.
Les gardes en prison surveillent ardemment les personnes venant rendre visites aux détenus pour éviter que des substances illicites, des armes blanches ou des téléphones portables viennent du monde extérieur. Mais qui aurait pensé devoir un jour fouiller un chat ? Des gardes d’une prison en Moldavie ont eu cette impression qu’un chat importait de la drogue au sein de l’établissement pénitentiaire.
Récemment, les gardes de cette prison située aux environs du village de Pruncul ont mis la main sur un chat transportant deux sachets de résine de cannabis. Les officiers pénitentiaires ont eu la puce à l’oreille en observant que le félin réalisait de nombreux allers-retours entre l’établissement et l’extérieur. L’animal échappait à la surveillance des gardes en passant par un trou dans le mur. Après avoir observé les allées et venues de ce chat gris et blanc, les officiers ont remarqué que l’animal portait un collier très particulier.
En effet, ce collier était loin d’être banal puisqu’il était constitué de deux sachets de cannabis.

Acheter Paris
Combien faudrait-il débourser pour s’offrir Paris ? C’est la grande question que se sont posés l’historien Patrice de Moncan et Gilles Ricour de Bourgies, le président de la Chambre Paris Île-de-France de la FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier), dans leur ouvrage intitulé Que vaut Paris ? (Editions du Mécène). D’après leurs estimations, un acquéreur potentiel devrait lâcher au moins 700 milliards d’euros pour mettre la main sur la Ville Lumière.
Un montant pharaonique, qui n’inclut pas les monuments historiques tels que la Tour Eiffel ou le palais de l’Elysée, note La
Tribune. Pour évaluer ainsi la valeur de la capitale, les deux auteurs ont recensé les quelque 1,3 million de logements présents dans les statistiques de la FNAIM dont ils ont fixé le prix en fonction de leur taille (1 pièce à 5 pièces et plus). L’addition de l’ensemble de ces montants fait déjà grimper la facture à 525,147 milliards d’euros.
A cela s’ajoute le montant global des bureaux. Et avec 16,818 millions de mètres carrés dédiés aux entreprises, la valeur de Paris augmente, d’après les estimations de BNP Paribas Real Estate Research, de 142 milliards d’euros, dont 35,9 pour le seul huitième arrondissement. Enfin, les murs des 84.000 boutiques recensées par l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR) valent environ 39,638 milliards.
Combien faudrait-il débourser pour s’offrir Paris ? C’est la grande question que se sont posés l’historien Patrice de Moncan et Gilles Ricour de Bourgies, le président de la Chambre Paris Île-de-France de la FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier), dans leur ouvrage intitulé Que vaut Paris ? (Editions du Mécène). D’après leurs estimations, un acquéreur potentiel devrait lâcher au moins 700 milliards d’euros pour mettre la main sur la Ville Lumière.
Un montant pharaonique, qui n’inclut pas les monuments historiques tels que la Tour Eiffel ou le palais de l’Elysée, note La
Tribune. Pour évaluer ainsi la valeur de la capitale, les deux auteurs ont recensé les quelque 1,3 million de logements présents dans les statistiques de la FNAIM dont ils ont fixé le prix en fonction de leur taille (1 pièce à 5 pièces et plus). L’addition de l’ensemble de ces montants fait déjà grimper la facture à 525,147 milliards d’euros.
A cela s’ajoute le montant global des bureaux. Et avec 16,818 millions de mètres carrés dédiés aux entreprises, la valeur de Paris augmente, d’après les estimations de BNP Paribas Real Estate Research, de 142 milliards d’euros, dont 35,9 pour le seul huitième arrondissement. Enfin, les murs des 84.000 boutiques recensées par l’Atelier parisien d’urbanisme (APUR) valent environ 39,638 milliards.