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Match
Un match de football historique s’est disputé lundi matin dans les jardins du palais de Buckingham, sous les yeux d’un prince William amusé et faussement soucieux du sort des fenêtres de la résidence de la reine Elizabeth II.
“Je ne puis vous dire à quel point je suis impatient d’assister à cette partie disputée sur la pelouse de ma grand-mère”, a ainsi déclaré en préambule le prince, également président d’honneur de la Fédération anglaise de football (FA). “Mais attention, je vous préviens : si quelqu’un casse une fenêtre, vous lui en répondrez!”
Ce match, organisé dans le cadre des 150 ans de la FA, opposait sur un terrain préparé pour l’occasion par le jardinier officiel du stade de Wembley deux des plus anciens clubs amateurs d’Angleterre, le Civil Service FC, l’un de ceux qui a créé la FA en 1863, et le Polytechnic FC, qui existe depuis 1875.
Si la reine elle-même n’a pas pris part à la rencontre, aucun match ne s’était jamais disputé dans sa demeure en 308 ans d’existence.
D’humeur légère, le Duc de Cambridge a également apostrophé les deux équipes pour leur proposer de faire une petite place au “remplaçant” Michael Owen puisque l’ancien international assistait en présence du président de la FA Greg Dyke à la rencontre arbitrée par Howard Webb.
L’un des deux clubs a profité de l’évènement, pour remettre au père du Prince George, né le 22 juillet, deux maillots imprimés “HRH 1” (Son altesse royale, ndlr) dans le dos.
Un match de football historique s’est disputé lundi matin dans les jardins du palais de Buckingham, sous les yeux d’un prince William amusé et faussement soucieux du sort des fenêtres de la résidence de la reine Elizabeth II.
“Je ne puis vous dire à quel point je suis impatient d’assister à cette partie disputée sur la pelouse de ma grand-mère”, a ainsi déclaré en préambule le prince, également président d’honneur de la Fédération anglaise de football (FA). “Mais attention, je vous préviens : si quelqu’un casse une fenêtre, vous lui en répondrez!”
Ce match, organisé dans le cadre des 150 ans de la FA, opposait sur un terrain préparé pour l’occasion par le jardinier officiel du stade de Wembley deux des plus anciens clubs amateurs d’Angleterre, le Civil Service FC, l’un de ceux qui a créé la FA en 1863, et le Polytechnic FC, qui existe depuis 1875.
Si la reine elle-même n’a pas pris part à la rencontre, aucun match ne s’était jamais disputé dans sa demeure en 308 ans d’existence.
D’humeur légère, le Duc de Cambridge a également apostrophé les deux équipes pour leur proposer de faire une petite place au “remplaçant” Michael Owen puisque l’ancien international assistait en présence du président de la FA Greg Dyke à la rencontre arbitrée par Howard Webb.
L’un des deux clubs a profité de l’évènement, pour remettre au père du Prince George, né le 22 juillet, deux maillots imprimés “HRH 1” (Son altesse royale, ndlr) dans le dos.

Prêtre
Un prêtre du Loir-et-Cher (France), soupçonné du vol d’une quarantaine d’objets du culte, vient d’être placé sous contrôle judiciaire, a-t-on appris lundi auprès de la gendarmerie.
Il est soupçonné d’avoir dévalisé 14 églises du Vendômois. Parmi les objets volés sans qu’il ait eu effraction, certains auraient une valeur patrimoniale et historique remarquable.
“Nous avons enquêté avec discrétion du fait d’une commission rogatoire délivrée par le parquet de Blois”, a dit à Reuters un porte-parole de la gendarmerie, confirmant une information du quotidien régional la Nouvelle République.
Les maires et les curés des paroisses concernées ont porté plainte.
“L’enquête se poursuit afin de recenser l’ensemble des objets et de trouver leur destination”, a ajouté le porte-parole.
L’évêque de Blois a précisé dans un communiqué avoir déchargé le prêtre de “tout ministère dans le diocèse de Blois” durant le temps de l’enquête.
Un prêtre du Loir-et-Cher (France), soupçonné du vol d’une quarantaine d’objets du culte, vient d’être placé sous contrôle judiciaire, a-t-on appris lundi auprès de la gendarmerie.
Il est soupçonné d’avoir dévalisé 14 églises du Vendômois. Parmi les objets volés sans qu’il ait eu effraction, certains auraient une valeur patrimoniale et historique remarquable.
“Nous avons enquêté avec discrétion du fait d’une commission rogatoire délivrée par le parquet de Blois”, a dit à Reuters un porte-parole de la gendarmerie, confirmant une information du quotidien régional la Nouvelle République.
Les maires et les curés des paroisses concernées ont porté plainte.
“L’enquête se poursuit afin de recenser l’ensemble des objets et de trouver leur destination”, a ajouté le porte-parole.
L’évêque de Blois a précisé dans un communiqué avoir déchargé le prêtre de “tout ministère dans le diocèse de Blois” durant le temps de l’enquête.