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Barbie
Rousse, maquillée, le chapeau stetson bien droit et la veste rouge parfaitement ajustée, la poupée Barbie lancée la semaine dernière par la police montée canadienne est déjà en rupture de stock, dépassant toutes les attentes.
Chaussée de bottes montantes à lacets et vêtue d’un pantalon moulant noir à bande jaune, la reproduction, vendue 30 dollars (22 euros) est tout à fait fidèle à la tenue protocolaire des agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Il manque juste le pistolet.
Commercialisées sur la boutique en ligne de la GRC et dans quelques magasins, les 1.200 poupées se sont arrachées en 48 heures, a rapporté le National Post.
“On voulait juste voir” comment les poupées se vendraient, a déclaré au quotidien Bianca McGregor, directrice marketing de l’organisme qui gère les produits dérivés de la Gendarmerie royale. “Notre boutique de cadeaux est petite et nous sommes hors saison, honnêtement on était juste en train de nous préparer pour Noël”, a souligné Mme McGregor, encore surprise du succès de la poupée.
Rousse, maquillée, le chapeau stetson bien droit et la veste rouge parfaitement ajustée, la poupée Barbie lancée la semaine dernière par la police montée canadienne est déjà en rupture de stock, dépassant toutes les attentes.
Chaussée de bottes montantes à lacets et vêtue d’un pantalon moulant noir à bande jaune, la reproduction, vendue 30 dollars (22 euros) est tout à fait fidèle à la tenue protocolaire des agents de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Il manque juste le pistolet.
Commercialisées sur la boutique en ligne de la GRC et dans quelques magasins, les 1.200 poupées se sont arrachées en 48 heures, a rapporté le National Post.
“On voulait juste voir” comment les poupées se vendraient, a déclaré au quotidien Bianca McGregor, directrice marketing de l’organisme qui gère les produits dérivés de la Gendarmerie royale. “Notre boutique de cadeaux est petite et nous sommes hors saison, honnêtement on était juste en train de nous préparer pour Noël”, a souligné Mme McGregor, encore surprise du succès de la poupée.

Fausse pub
Victime d’une probable méprise orthographique, un célèbre village français s’est retrouvé en photo dans une brochure vantant les mérites touristiques d’une région de l’ouest de la Turquie, a rapporté l’agence de presse Dogan.
Dans cette publication, l’office de la culture et du tourisme de la région de Manisa a confondu Gordes, dans le sud de la France, avec Gördes, une de ses localités.
“Gördes, au coeur de la forêt”, s’extasie la brochure sous une photo du village français presque homonyme.
Un peu gêné, le directeur provincial de la culture et du tourisme, Erdinç Karaköse, a rejeté la faute sur l’agence publicitaire qui réalisé la brochure.
“Notre but n’est pas de promouvoir un village français”, a-t-il tenu à préciser, “malgré de multiples contrôles, cette photo d’à peine quatre centimètres carrés nous a échappé”.
Environ 50.000 exemplaires de la brochure de 248 pages, intitulée “Manisa, une ville de marque”, ont été distribués aux acteurs du secteur touristique et vendus à des étudiants cinq livres turques pièce (environ deux euros), écrit Dogan.
La Gördes turque, quant à elle, est une petite ville de 10.000 habitants, perchée à quelque 600 m d’altitude, connue pour ses ateliers de fabrication de tapis à l’ancienne.
Victime d’une probable méprise orthographique, un célèbre village français s’est retrouvé en photo dans une brochure vantant les mérites touristiques d’une région de l’ouest de la Turquie, a rapporté l’agence de presse Dogan.
Dans cette publication, l’office de la culture et du tourisme de la région de Manisa a confondu Gordes, dans le sud de la France, avec Gördes, une de ses localités.
“Gördes, au coeur de la forêt”, s’extasie la brochure sous une photo du village français presque homonyme.
Un peu gêné, le directeur provincial de la culture et du tourisme, Erdinç Karaköse, a rejeté la faute sur l’agence publicitaire qui réalisé la brochure.
“Notre but n’est pas de promouvoir un village français”, a-t-il tenu à préciser, “malgré de multiples contrôles, cette photo d’à peine quatre centimètres carrés nous a échappé”.
Environ 50.000 exemplaires de la brochure de 248 pages, intitulée “Manisa, une ville de marque”, ont été distribués aux acteurs du secteur touristique et vendus à des étudiants cinq livres turques pièce (environ deux euros), écrit Dogan.
La Gördes turque, quant à elle, est une petite ville de 10.000 habitants, perchée à quelque 600 m d’altitude, connue pour ses ateliers de fabrication de tapis à l’ancienne.