Autres articles
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite

Dortoirs à ouvriers
Vingt-cinq luxueuses villas édifiées sur le toit d'un gigantesque centre commercial chinois abritent aujourd'hui des travailleurs migrants, après avoir été déclarées impropres à la vente par les autorités, a rapporté mardi un média officiel.
Ces résidences, réparties sur une surface équivalente à celle de trois terrains de football, ont été construites en 2009 sur le toit d'un centre commercial de plusieurs étages de Hengyang, dans la province du Hunan (centre), a indiqué le China Daily.
Ces villas aux styles architecturaux très éclectiques -- combinant toitures bleu ciel, murs jaune paille, larges vérandas et tourelles hexagonales -- sont entourées de cours plantées d'arbustes et séparées par de petites barrières blanches.
Mais ces improbables maisons perchées dans les airs ont été édifiées sans autorisation, et la municipalité a demandé à de multiples reprises au promoteur immobilier responsable du projet, Hengyang Wings Group, de les démolir, selon le China Daily.
Devant le refus obstiné de l'entreprise d'obtempérer, les autorités de Hengyang ont finalement renoncé à obtenir la destruction des villas mais ont émis des règlements interdisant au promoteur de les mettre en vente.
En conséquence, "les villas servent désormais de dortoirs pour nos employés. Certains des travailleurs migrants qui ont pris part à la construction des maisons comptent aujourd'hui parmi ceux qui y habitent", a expliqué Wang Jianxin, directeur général du groupe immobilier, cité par un journal local.
Les investissements immobiliers ont été l'un des piliers de la croissance économique chinoise des dernières années, mais ont également provoqué une flambée des prix du logement, que les autorités cherchent à contenir en restreignant les achats d'appartements et en encourageant la construction de logements sociaux.
Vingt-cinq luxueuses villas édifiées sur le toit d'un gigantesque centre commercial chinois abritent aujourd'hui des travailleurs migrants, après avoir été déclarées impropres à la vente par les autorités, a rapporté mardi un média officiel.
Ces résidences, réparties sur une surface équivalente à celle de trois terrains de football, ont été construites en 2009 sur le toit d'un centre commercial de plusieurs étages de Hengyang, dans la province du Hunan (centre), a indiqué le China Daily.
Ces villas aux styles architecturaux très éclectiques -- combinant toitures bleu ciel, murs jaune paille, larges vérandas et tourelles hexagonales -- sont entourées de cours plantées d'arbustes et séparées par de petites barrières blanches.
Mais ces improbables maisons perchées dans les airs ont été édifiées sans autorisation, et la municipalité a demandé à de multiples reprises au promoteur immobilier responsable du projet, Hengyang Wings Group, de les démolir, selon le China Daily.
Devant le refus obstiné de l'entreprise d'obtempérer, les autorités de Hengyang ont finalement renoncé à obtenir la destruction des villas mais ont émis des règlements interdisant au promoteur de les mettre en vente.
En conséquence, "les villas servent désormais de dortoirs pour nos employés. Certains des travailleurs migrants qui ont pris part à la construction des maisons comptent aujourd'hui parmi ceux qui y habitent", a expliqué Wang Jianxin, directeur général du groupe immobilier, cité par un journal local.
Les investissements immobiliers ont été l'un des piliers de la croissance économique chinoise des dernières années, mais ont également provoqué une flambée des prix du logement, que les autorités cherchent à contenir en restreignant les achats d'appartements et en encourageant la construction de logements sociaux.

Tracteur fou
Un tracteur en flammes qui avait échappé à son conducteur a détruit mardi soir une maison et entraîné l'évacuation de trois cents campeurs dans le sud de l'Isère (France), a-t-on appris auprès des pompiers, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Le conducteur du tracteur, qui circulait dans le village de Venosc, à 70 km au sud de Grenoble, aurait perdu le contrôle de son véhicule en tentant d'évacuer de son engin des bottes de foin qui venaient de prendre feu pour une raison encore inconnue.
Le tracteur aurait alors dévalé la pente sur laquelle il se trouvait avant de venir s'encastrer dans la bâtisse, provoquant son embrasement et celui de deux dépendances situées alentour. Seule la maison a été totalement détruite.
Le feu s'est également propagé près d'un camping voisin où séjournaient environ 300 campeurs qui ont été immédiatement évacués par mesure de sécurité. Tous ont néanmoins pu regagner leurs couchages dans la soirée.
L'incident, qui a occasionné la fermeture de la seule route menant à un village voisin pendant près d'une heure trente, n'a pas fait de victime à l'exception d'un vacancier, blessé sans gravité.