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Prêtres hooligans
La Clericus Cup, une compétition de foot organisée au Vatican depuis 2007 entre des équipes formées de prêtres et de séminaristes des diverses universités pontificales de Rome, ne sera plus soutenue financièrement par le Vatican. La faute à des violences survenues pendant les matches sur le terrain et dans les tribunes.
Kevin Lixey, responsable de la section Eglise et sport du Conseil pontifical pour les laïcs, a adressé une missive, relayée par La Croix, qui reproche aux organisateurs du tournoi d'avoir négligé de sensibiliser les séminaristes sur des thèmes concernant l'éducation des jeunes aux valeurs sportives du respect de l'autre et de la solidarité. L'incident qui aurait énervé le Vatican serait l'attitude d'un séminariste expulsé du terrain pour avoir voulu frapper l'un de ses adversaires après que son équipe a encaissé un but, selon Le Point.
Mais l'histoire de ce religieux peu fair play n'est qu'un fait parmi d'autres dans l'ambiance belliqueuse qui règne en permanence dans cette compétition sportive. Les supporteurs des deux équipes - nonnes, prêtres, séminaristes - s'insultent gracieusement tout au long des rencontres, comme l'explique la même source. Une atmosphère très éloignée des valeurs chrétiennes qui a fini par lasser le Vatican.
6 060 ans de prison.
La condamnation vient de tomber pour un ancien militaire des forces spéciales du Guatemala. Pour avoir massacré 201 personnes à Las Dos Erres pendant la guerre civile, Pedro Pimentel a écopé de 6060 ans de prison.
C'est une peine symbolique à la hauteur des horreurs commises par un ancien militaire des forces spéciales du Guatemala qui vient d'être prononcée. Pedro Pimentel, 55 ans, extradé en août dernier aux Etats-Unis a écopé de 30 années de prison pour chacun des meurtres qu'il a commis, ainsi que 30 années de plus pour crime contre l'humanité et "atteinte contre la sécurité de l'Etat".
Les juges l'ont reconnu coupable du massacre de 201 personnes entre les 6 et 8 décembre 1982 à Las Dos Erres. C'est la première condamnation concernant la guerre civile au Guatemala qui dura de 1960 à 1996. La justice a pointé du doigt sa perversité pour avoir fait "disparaître de la carte" le village de Dos Erres, situé dans la commune de La Libertad, rapporte Le Monde.
La Clericus Cup, une compétition de foot organisée au Vatican depuis 2007 entre des équipes formées de prêtres et de séminaristes des diverses universités pontificales de Rome, ne sera plus soutenue financièrement par le Vatican. La faute à des violences survenues pendant les matches sur le terrain et dans les tribunes.
Kevin Lixey, responsable de la section Eglise et sport du Conseil pontifical pour les laïcs, a adressé une missive, relayée par La Croix, qui reproche aux organisateurs du tournoi d'avoir négligé de sensibiliser les séminaristes sur des thèmes concernant l'éducation des jeunes aux valeurs sportives du respect de l'autre et de la solidarité. L'incident qui aurait énervé le Vatican serait l'attitude d'un séminariste expulsé du terrain pour avoir voulu frapper l'un de ses adversaires après que son équipe a encaissé un but, selon Le Point.
Mais l'histoire de ce religieux peu fair play n'est qu'un fait parmi d'autres dans l'ambiance belliqueuse qui règne en permanence dans cette compétition sportive. Les supporteurs des deux équipes - nonnes, prêtres, séminaristes - s'insultent gracieusement tout au long des rencontres, comme l'explique la même source. Une atmosphère très éloignée des valeurs chrétiennes qui a fini par lasser le Vatican.
6 060 ans de prison.
La condamnation vient de tomber pour un ancien militaire des forces spéciales du Guatemala. Pour avoir massacré 201 personnes à Las Dos Erres pendant la guerre civile, Pedro Pimentel a écopé de 6060 ans de prison.
C'est une peine symbolique à la hauteur des horreurs commises par un ancien militaire des forces spéciales du Guatemala qui vient d'être prononcée. Pedro Pimentel, 55 ans, extradé en août dernier aux Etats-Unis a écopé de 30 années de prison pour chacun des meurtres qu'il a commis, ainsi que 30 années de plus pour crime contre l'humanité et "atteinte contre la sécurité de l'Etat".
Les juges l'ont reconnu coupable du massacre de 201 personnes entre les 6 et 8 décembre 1982 à Las Dos Erres. C'est la première condamnation concernant la guerre civile au Guatemala qui dura de 1960 à 1996. La justice a pointé du doigt sa perversité pour avoir fait "disparaître de la carte" le village de Dos Erres, situé dans la commune de La Libertad, rapporte Le Monde.