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Plus de 100 milliards de yens, soit un milliard d'euros, voici la dette de la ville d'Izumisano, au Japon. Pour réduire cet immense déficit, la ville a décidé de mettre son nom en vente pour le remplacer par celui d'une entreprise.
Izumisano est située dans la préfecture d'Osaka, dans l'Ouest du Japon. Elle a obtenu le statut de ville seulement en 1948 et compte, à ce jour, 103 000 habitants. Plutôt inconnue du grand public, cette ville est sortie de l'anonymat jeudi dernier lorsque les autorités municipales ont indiqué vouloir mettre en vente son nom au bénéfice d'un généreux investisseur.
Malgré son industrie de fabrication de serviettes et ses monuments historiques en tous genres, la ville d'Izumisano reflète l'image de nombreuses villes nippones, à savoir les déficits budgétaires. La cause ? Le vieillissement de la population japonaise qui ne cesse de croître. De ce fait, les retraités sont de plus en plus nombreux et dépendent de plus en plus de la jeune population qui, elle, diminue en effectif. Et tout cela s'ajoute au fait que les autorités locales nippones investissent dans des infrastructures à l'utilité moindre.
Le cas d'Izumisano est très proche du cas de figure du Japon. L'exemple le plus flagrant est, sans aucun doute, celui de son aéroport. Ce dernier n'est pas vraiment la cause du déficit de la ville mais ce sont particulièrement les infrastructures qui lui sont liées comme les routes. C'est pour cette raison que les autorités locales ont fait appel à un quelconque investisseur qui voudrait bien diminuer sa dette. Et, en échange, la ville a proposé une relation d'au moins dix ans et a même lancé l'idée de l'installation du siège dans la ville si une entreprise répondait positivement à l'offre. Cependant, lancée en juin et valable jusqu'à fin novembre, cette offre n'a trouvé aucun bienfaiteur. Néanmoins, cette proposition a réussi à soulever la colère des habitants. "Ils disent que le nom de la ville est porteur d'une histoire et qu'on ne peut pas le vendre ou l'acheter", a expliqué le responsable de l'offre relayé par La Dépêche. Il reste un peu moins d'un mois pour que la ville trouve un preux chevalier blanc. Affaire à suivre.
Izumisano est située dans la préfecture d'Osaka, dans l'Ouest du Japon. Elle a obtenu le statut de ville seulement en 1948 et compte, à ce jour, 103 000 habitants. Plutôt inconnue du grand public, cette ville est sortie de l'anonymat jeudi dernier lorsque les autorités municipales ont indiqué vouloir mettre en vente son nom au bénéfice d'un généreux investisseur.
Malgré son industrie de fabrication de serviettes et ses monuments historiques en tous genres, la ville d'Izumisano reflète l'image de nombreuses villes nippones, à savoir les déficits budgétaires. La cause ? Le vieillissement de la population japonaise qui ne cesse de croître. De ce fait, les retraités sont de plus en plus nombreux et dépendent de plus en plus de la jeune population qui, elle, diminue en effectif. Et tout cela s'ajoute au fait que les autorités locales nippones investissent dans des infrastructures à l'utilité moindre.
Le cas d'Izumisano est très proche du cas de figure du Japon. L'exemple le plus flagrant est, sans aucun doute, celui de son aéroport. Ce dernier n'est pas vraiment la cause du déficit de la ville mais ce sont particulièrement les infrastructures qui lui sont liées comme les routes. C'est pour cette raison que les autorités locales ont fait appel à un quelconque investisseur qui voudrait bien diminuer sa dette. Et, en échange, la ville a proposé une relation d'au moins dix ans et a même lancé l'idée de l'installation du siège dans la ville si une entreprise répondait positivement à l'offre. Cependant, lancée en juin et valable jusqu'à fin novembre, cette offre n'a trouvé aucun bienfaiteur. Néanmoins, cette proposition a réussi à soulever la colère des habitants. "Ils disent que le nom de la ville est porteur d'une histoire et qu'on ne peut pas le vendre ou l'acheter", a expliqué le responsable de l'offre relayé par La Dépêche. Il reste un peu moins d'un mois pour que la ville trouve un preux chevalier blanc. Affaire à suivre.










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