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Métro, favela, hôpital psychiatrique, un jeune chef d'orchestre argentin investit des lieux inhabituels pour faire connaître l'opéra et populariser un genre réservé en Argentine à une élite.
Mardi, dans les couloirs du métro de Buenos Aires, les musiciens font résonner une musique baroque sur laquelle une soprano et un baryton posent leur voix, surprenant les usagers pressés.
Certains s'arrêtent, enlèvent leurs écouteurs, prennent des photos.
Le chef d'orchestre Pablo Foladori, formé au prestigieux Théâtre Colon de Buenos Aires, a adapté "La serva padrona", opéra de 1733 du compositeur italien Giovanni Battista Pergolesi dit Pergolèse.
Le premier des deux actes est joué dans une station.
Puis les musiciens rangent violons et violoncelles pour interpréter le second, sept stations plus loin.
"C'est une expérimentation, un opéra en mouvement continuel", dit Pablo Foladori.
L'opéra en deux actes est grand public et bref, "conditions nécessaires pour le monter dans un lieu alternatif", précise-t-il.
Mardi, dans les couloirs du métro de Buenos Aires, les musiciens font résonner une musique baroque sur laquelle une soprano et un baryton posent leur voix, surprenant les usagers pressés.
Certains s'arrêtent, enlèvent leurs écouteurs, prennent des photos.
Le chef d'orchestre Pablo Foladori, formé au prestigieux Théâtre Colon de Buenos Aires, a adapté "La serva padrona", opéra de 1733 du compositeur italien Giovanni Battista Pergolesi dit Pergolèse.
Le premier des deux actes est joué dans une station.
Puis les musiciens rangent violons et violoncelles pour interpréter le second, sept stations plus loin.
"C'est une expérimentation, un opéra en mouvement continuel", dit Pablo Foladori.
L'opéra en deux actes est grand public et bref, "conditions nécessaires pour le monter dans un lieu alternatif", précise-t-il.