
Autres articles
-
Un teckel retrouvé après une fugue de 529 jours en Australie
-
Des pistes intéressantes contre la résistance aux antibiotiques
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
Voir, sentir, parler, penser, entendre… Le cerveau est à l’origine de toutes les actions humaines et est absolument nécessaire au bon fonctionnement de l’Homme. L’activité cérébrale est tellement indispensable chez l’humain, qu’il paraît invraisemblable qu’elle puisse aussi lui être néfaste. C’est pourtant ce que vient de démontrer une étude, menée par une équipe de chercheurs de la prestigieuse université Harvard Médical School et publiée le 16 octobre 2019 dans la revue scientifique Nature. Notre meilleur allié pourrait s’avérer être notre pire ennemi si nous le faisons trop fonctionner. Difficile à croire, même pour Nature qui a demandé des recherches plus poussées pour pouvoir publier cette enquête. C’est donc ce qui a été fait pendant deux ans, mais les résultats sont restés les mêmes : trop réfléchir pourrait réduire l’espérance de vie.
Pour mener à bien leur projet, les chercheurs ont réalisé des essais sur des souris et sur des personnes décédées entre 60 et 100 ans. Ils se sont alors rendus compte que plus l’activité neuronale est intense, plus le corps vieillit vite et plus l’espérance de vie se réduit. Une étude qui effraie mais qui a été confirmée par d’autres recherches préalables qui ont par exemple prouvé que la méditation était bénéfique pour lutter contre la maladie d’Alzheimer puisqu’elle permet au cerveau de se reposer. Plus largement, toute activité permettant de mettre les neurones en veille garantirait une vie plus longue ou permettrait d’éviter un vieillissement prématuré..
Pour mener à bien leur projet, les chercheurs ont réalisé des essais sur des souris et sur des personnes décédées entre 60 et 100 ans. Ils se sont alors rendus compte que plus l’activité neuronale est intense, plus le corps vieillit vite et plus l’espérance de vie se réduit. Une étude qui effraie mais qui a été confirmée par d’autres recherches préalables qui ont par exemple prouvé que la méditation était bénéfique pour lutter contre la maladie d’Alzheimer puisqu’elle permet au cerveau de se reposer. Plus largement, toute activité permettant de mettre les neurones en veille garantirait une vie plus longue ou permettrait d’éviter un vieillissement prématuré..