Autres articles
-
Etre footballeuse avec un bébé n'est plus une rareté
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
Un Montréalais qui faisait du tri dans ses vêtements en vue d'un don a eu la surprise de retrouver dans la doublure d'une veste un billet de loterie acheté dix mois plus tôt. Vendredi, il a empoché ses gains: 1,75 million de dollars (1,17 million d'euros).
"Lorsqu'il a fait valider son billet, il croyait avoir lu 1.750 dollars sur l'afficheur", a raconté la société Loto-Québec dans un communiqué. "Quand il a réalisé la valeur de son gain, il dit que son coeur s'est presque arrêté!"
Gregorio De Santis a bien fait d'écouter sa soeur, qui lui avait suggéré de faire un grand ménage dans sa garde-robe pour faire un don de vêtements. Il a retrouvé dans la doublure d'une veste un billet acheté en décembre 2017. "Je n'aurais jamais regardé dans cette garde-robe sans elle", a-t-il commenté, selon Loto-Québec.
M. De Santis, qui joue à la loterie depuis les années 1970, avait déjà remporté 4.000 dollars (2.600 euros) au début des années 2000.
Avec ses gains, M. De Santis envisage notamment de muscler son plan retraite et de se payer quelques matches de hockey sur glace avec son neveu.
"Lorsqu'il a fait valider son billet, il croyait avoir lu 1.750 dollars sur l'afficheur", a raconté la société Loto-Québec dans un communiqué. "Quand il a réalisé la valeur de son gain, il dit que son coeur s'est presque arrêté!"
Gregorio De Santis a bien fait d'écouter sa soeur, qui lui avait suggéré de faire un grand ménage dans sa garde-robe pour faire un don de vêtements. Il a retrouvé dans la doublure d'une veste un billet acheté en décembre 2017. "Je n'aurais jamais regardé dans cette garde-robe sans elle", a-t-il commenté, selon Loto-Québec.
M. De Santis, qui joue à la loterie depuis les années 1970, avait déjà remporté 4.000 dollars (2.600 euros) au début des années 2000.
Avec ses gains, M. De Santis envisage notamment de muscler son plan retraite et de se payer quelques matches de hockey sur glace avec son neveu.