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Le milliardaire américain Donald Trump et le baron de la drogue en cavale Joaquin “El Chapo” Guzman sont les stars d’Halloween au Mexique.
Le masque en latex du chef du cartel de Sinaloa, avec moustache noire réglementaire et tenue rayée de prisonnier est vendu 30 dollars sur Internet et dans certaines boutiques de Mexico.
L’entreprise qui les fabrique, Grupo Rev, a indiqué en avoir déjà vendu 2.000 et lancé une fabrication de 1.700 nouvelles pièces. Les masques nécessitent une journée entière de travail dans l’usine située à Jiutepec (centre).
“Il y a bien sûr des critiques mais nous sommes Mexicains et savons rire même dans la tragédie”, a déclaré à l’AFP Maria del Carmen Navarro, ingénieure textile dans cette entreprise.
“El Chapo”, considéré comme un des plus puissants narcotrafiquants au monde, s’est blessé ces derniers jours à la jambe et au visage en fuyant une opération des autorités mexicaines visant à le capturer, a annoncé le gouvernement fédéral vendredi.
Il s’était échappé en juillet dernier d’une prison de haute sécurité.
Si, tous les 2 novembre, les Mexicains célèbrent le Jour des morts avec une ferveur exceptionnelle, la fête d’Halloween, le 31 octobre, et son cortège de déguisements d’épouvante, a vu sa popularité s’accroître.
Flairant la bonne affaire, des entreprises ont sauté sur l’occasion pour proposer les déguisements des “vilains” à la mode.
Si “El Chapo” incarne le côté obscur du Mexique et sa guerre contre la drogue, il permet aussi de formuler une “critique comique” à l’égard des autorités du pays, estime Dina Diego, une des employées de l’entreprise.
Face à lui, Donald Trump incarne l’ennemi xénophobe étranger. En quelques mois, le candidat républicain à la présidentielle est devenu l’homme le plus détesté du Mexique après ses déclarations peu amènes à l’égard des migrants mexicains, assimilés à des violeurs et à des criminels.
Grupo Rev n’a pour l’instant fabriqué que 250 masques du milliardaire mais les responsables de l’entreprise se montrent optimistes et espèrent au final vendre autant de déguisements de l’homme le plus recherché du Mexique que de celui le plus détesté.
Le masque en latex du chef du cartel de Sinaloa, avec moustache noire réglementaire et tenue rayée de prisonnier est vendu 30 dollars sur Internet et dans certaines boutiques de Mexico.
L’entreprise qui les fabrique, Grupo Rev, a indiqué en avoir déjà vendu 2.000 et lancé une fabrication de 1.700 nouvelles pièces. Les masques nécessitent une journée entière de travail dans l’usine située à Jiutepec (centre).
“Il y a bien sûr des critiques mais nous sommes Mexicains et savons rire même dans la tragédie”, a déclaré à l’AFP Maria del Carmen Navarro, ingénieure textile dans cette entreprise.
“El Chapo”, considéré comme un des plus puissants narcotrafiquants au monde, s’est blessé ces derniers jours à la jambe et au visage en fuyant une opération des autorités mexicaines visant à le capturer, a annoncé le gouvernement fédéral vendredi.
Il s’était échappé en juillet dernier d’une prison de haute sécurité.
Si, tous les 2 novembre, les Mexicains célèbrent le Jour des morts avec une ferveur exceptionnelle, la fête d’Halloween, le 31 octobre, et son cortège de déguisements d’épouvante, a vu sa popularité s’accroître.
Flairant la bonne affaire, des entreprises ont sauté sur l’occasion pour proposer les déguisements des “vilains” à la mode.
Si “El Chapo” incarne le côté obscur du Mexique et sa guerre contre la drogue, il permet aussi de formuler une “critique comique” à l’égard des autorités du pays, estime Dina Diego, une des employées de l’entreprise.
Face à lui, Donald Trump incarne l’ennemi xénophobe étranger. En quelques mois, le candidat républicain à la présidentielle est devenu l’homme le plus détesté du Mexique après ses déclarations peu amènes à l’égard des migrants mexicains, assimilés à des violeurs et à des criminels.
Grupo Rev n’a pour l’instant fabriqué que 250 masques du milliardaire mais les responsables de l’entreprise se montrent optimistes et espèrent au final vendre autant de déguisements de l’homme le plus recherché du Mexique que de celui le plus détesté.