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Pour expliquer sa démarche, Avni Delvina, 61 ans, invoque une citation qu’il attribue à George Orwell: “En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire”.
Car à ses yeux, Donald Trump est bien le valeureux combattant qu’il prétend être, en lutte contre les “fake news”.
L’artiste est un admirateur assumé des Républicains américains. Mais Donald Trump, si impopulaire dans une large frange de l’opinion publique internationale, trouve une place particulière dans son coeur.
“L’opération orchestrée par les médias internationaux contre Donald Trump après sa victoire, m’a poussé à monter cette exposition”, dit le peintre qui, dans cette exposition baptisée “The Donald”, présente 46 oeuvres qui “ne sont pas à vendre”. “Cette exposition n’a pas de prix”, dit-il.
“C’est un travail de deux ans né d’une forte indignation face aux attaques contre une personne, un esprit libre comme Trump”, “la politique internationale avait besoin de l’oxygène de Trump”, dit tout souriant l’artiste qui a aussi peint l’épouse du président, Melania Trump, en Joconde.
Les Albanais sont animés d’un fort sentiment pro-américain qui profite aussi à Donald Trump. Et près de Tirana, une commune de banlieue, Kamza, a donné à un boulevard le nom du président des Etats-Unis.