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Soucieux de faire passer son message sur le changement climatique et ses impacts dévastateurs, Barack Obama a décidé de goûter à la vie sauvage en Alaska. Par le truchement de la télé-réalité.
Enregistrée début septembre mais diffusée jeudi soir sur NBC, l'émission "Running Wild with Bear Grylls", qui pousse - en principe - les candidats dans leurs retranchements en milieux hostiles, lui donne l'occasion de s'exprimer loin du Bureau ovale.
Alternant le registre sérieux sur la menace climatique avec des considérations moins existentielles, Barack Obama, très décontracté, assure que c'est tout simplement "l'une des plus belles journées" de sa présidence.
"Pour des raisons de sécurité, je ne peux avoir de smartphone", explique-t-il avant de prendre un selfie avec un appareil prêté par l'un des collaborateurs, anticipant les commentaires moqueurs de ses filles adolescentes.
Alors qu'ils avancent dans une zone appréciée par les ours, Bear Grylls, sourire en coin, met en garde le président: les plantigrades sont le plus dangereux quand ils sont surpris en train de s'accoupler. "C'est probablement vrai aussi pour les humains", répond Obama amusé.
Un peu plus loin, le président se laisse tenter par les restes d'un saumon abandonné par un ours. "Mmm, ça a du goût", lance-t-il, avant d'admettre que cela aurait été "idéal avec un cracker".
Serait-il prêt à boire son urine? "J'imagine que, in extremis, c'est quelque chose que je ferais si l'alternative était la mort (...) Mais pas pour un show télévisé".
Qu'est-ce qui fait peur au président des Etats-Unis?
"Quand Michelle est en colère, cela m'inquiète. Il y a un certain regard qu'elle me jette...", répond-il, avant d'assurer, plus sérieusement, qu'il n'a "pas beaucoup de phobies". Après avoir dégusté un marshmallow fondu sur le feu, M. Obama revient longuement sur la lutte contre le changement climatique.
"J'ai deux filles. Je ne veux pas des petits-enfants trop tôt mais j'espère que j'en aurai un jour. Et je veux être sûr qu'ils auront l'occasion de voir cela aussi", explique-t-il, debout devant les glaciers.
Lors de ce voyage de trois jours en Alaska, M. Obama avait répété sur tous les tons un seul message: "Nous n'agissons pas assez vite".
Enregistrée début septembre mais diffusée jeudi soir sur NBC, l'émission "Running Wild with Bear Grylls", qui pousse - en principe - les candidats dans leurs retranchements en milieux hostiles, lui donne l'occasion de s'exprimer loin du Bureau ovale.
Alternant le registre sérieux sur la menace climatique avec des considérations moins existentielles, Barack Obama, très décontracté, assure que c'est tout simplement "l'une des plus belles journées" de sa présidence.
"Pour des raisons de sécurité, je ne peux avoir de smartphone", explique-t-il avant de prendre un selfie avec un appareil prêté par l'un des collaborateurs, anticipant les commentaires moqueurs de ses filles adolescentes.
Alors qu'ils avancent dans une zone appréciée par les ours, Bear Grylls, sourire en coin, met en garde le président: les plantigrades sont le plus dangereux quand ils sont surpris en train de s'accoupler. "C'est probablement vrai aussi pour les humains", répond Obama amusé.
Un peu plus loin, le président se laisse tenter par les restes d'un saumon abandonné par un ours. "Mmm, ça a du goût", lance-t-il, avant d'admettre que cela aurait été "idéal avec un cracker".
Serait-il prêt à boire son urine? "J'imagine que, in extremis, c'est quelque chose que je ferais si l'alternative était la mort (...) Mais pas pour un show télévisé".
Qu'est-ce qui fait peur au président des Etats-Unis?
"Quand Michelle est en colère, cela m'inquiète. Il y a un certain regard qu'elle me jette...", répond-il, avant d'assurer, plus sérieusement, qu'il n'a "pas beaucoup de phobies". Après avoir dégusté un marshmallow fondu sur le feu, M. Obama revient longuement sur la lutte contre le changement climatique.
"J'ai deux filles. Je ne veux pas des petits-enfants trop tôt mais j'espère que j'en aurai un jour. Et je veux être sûr qu'ils auront l'occasion de voir cela aussi", explique-t-il, debout devant les glaciers.
Lors de ce voyage de trois jours en Alaska, M. Obama avait répété sur tous les tons un seul message: "Nous n'agissons pas assez vite".