
Autres articles
-
Etre footballeuse avec un bébé n'est plus une rareté
-
La mer Méditerranée a enregistré dimanche une température record pour un mois de juin
-
Des experts américains veulent supprimer des vaccins un composant critiqué par les antivax
-
A Nairobi, des femmes DJ veulent occuper le devant de la scène
-
Japon : Un ours force à l'annulation de vols
Dans cette église orthodoxe centenaire, les visiteurs se recueillent non pas devant des icônes mais devant une combinaison spatiale ou un casque de Iouri Gagarine, exemples parmi d’autres des pièces d’un extravagant musée de l’espace en Ukraine.
Vestige d’une époque où la conquête spatiale faisait quasiment figure de religion pour les Soviétiques, ce musée installé dans le centre de l’Ukraine survit tant bien que mal en dépit des convoitises d’Eglises rivales et du manque de moyens.
Vue de l’extérieur, la bâtisse en bois n’a rien d’extraordinaire avec sa coupole couronnée d’une croix dorée et ses murs peints en bleu et gris.
A l’intérieur, l’église Sainte-Parascève abrite plus de 450 pièces d’exposition: du matériel technique dont une astromobile; des objets personnels dont un casque et un parachute du Soviétique Iouri Gagarine, premier homme envoyé dans l’espace en 1961; et notamment une collection de portraits de Gagarine où celui-ci arbore le large sourire qui a fait de lui une icône parmi les cosmonautes de l’époque soviétique.
Ce musée fait partie d’un complexe ethnographique en plein air à Pereyaslav-Khmelnytsky, petite ville au riche passé historique située à 80 kilomètres au sud-est de Kiev.
Il a été fondé dans les années 1970 dans un contexte de politique antireligieuse menée par l’URSS et qui a abouti à des milliers de destructions d’églises ou de transformations en locaux utilitaires.
“Les vols dans l’espace étaient alors follement populaires et chaque petit garçon rêvait de devenir cosmonaute”, ajoute Sergui Volkodav, son jeune responsable scientifique, devant une combinaison spatiale.
Vestige d’une époque où la conquête spatiale faisait quasiment figure de religion pour les Soviétiques, ce musée installé dans le centre de l’Ukraine survit tant bien que mal en dépit des convoitises d’Eglises rivales et du manque de moyens.
Vue de l’extérieur, la bâtisse en bois n’a rien d’extraordinaire avec sa coupole couronnée d’une croix dorée et ses murs peints en bleu et gris.
A l’intérieur, l’église Sainte-Parascève abrite plus de 450 pièces d’exposition: du matériel technique dont une astromobile; des objets personnels dont un casque et un parachute du Soviétique Iouri Gagarine, premier homme envoyé dans l’espace en 1961; et notamment une collection de portraits de Gagarine où celui-ci arbore le large sourire qui a fait de lui une icône parmi les cosmonautes de l’époque soviétique.
Ce musée fait partie d’un complexe ethnographique en plein air à Pereyaslav-Khmelnytsky, petite ville au riche passé historique située à 80 kilomètres au sud-est de Kiev.
Il a été fondé dans les années 1970 dans un contexte de politique antireligieuse menée par l’URSS et qui a abouti à des milliers de destructions d’églises ou de transformations en locaux utilitaires.
“Les vols dans l’espace étaient alors follement populaires et chaque petit garçon rêvait de devenir cosmonaute”, ajoute Sergui Volkodav, son jeune responsable scientifique, devant une combinaison spatiale.