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C’est un beau cadeau d’anniversaire qu’ont reçu les salariés de l’entreprise Starterre, basée à Saint-Fons, près de Lyon. A l’occasion des 25 ans de son entreprise, Jean-Louis Brissaud, le PDG, a décidé de reverser à ses salariés les bénéfices réalisés, soit 1,6 million d’euros, rapporte 20 minutes.
La somme sera répartie, sous forme de primes, selon l’ancienneté et non en fonction des postes occupés. Ainsi, les salariés embauchés depuis moins de trois ans recevront 500 euros. Les autres, qui travaillent dans l’entreprise depuis plus de vingt ans, toucheront 35.000 euros. Le généreux patron justifie son altruisme comme parfaitement «normal». «Dans notre entreprise, il y a toujours eu un management participatif. Nos collaborateurs travaillent depuis des semaines, des mois et même des années, pour certains. Ils se sont investis pour fonder et faire fleurir la société. Il est donc tout à fait logique qu’on partage les bénéfices », précise Jean-Louis Brissaud.
Une vision bien éloignée de celle de nombreuses autres entreprises : «Dans notre société occidentale, les managers sont bien souvent égocentriques. Dans les start-up, on voit qu’on recherche à tirer le maximum avant de revendre. Mais ce n’est pas notre philosophie», explique modestement le patron. Et d’ajouter : «Si vous voulez pérenniser une entreprise, il faut savoir faire preuve d’empathie et d’altruisme. Cela n’est pas incompatible avec le fait d’engendrer des bénéfices».
Starterre enregistre une croissance de 28% et devrait réaliser un chiffre d’affaires proche de 250 millions d’euros. «Quand on sait partager, on peut emmener ses équipes au bout du monde», conclut Jean-Louis Brissaud. Un bel exemple à suivre!
La somme sera répartie, sous forme de primes, selon l’ancienneté et non en fonction des postes occupés. Ainsi, les salariés embauchés depuis moins de trois ans recevront 500 euros. Les autres, qui travaillent dans l’entreprise depuis plus de vingt ans, toucheront 35.000 euros. Le généreux patron justifie son altruisme comme parfaitement «normal». «Dans notre entreprise, il y a toujours eu un management participatif. Nos collaborateurs travaillent depuis des semaines, des mois et même des années, pour certains. Ils se sont investis pour fonder et faire fleurir la société. Il est donc tout à fait logique qu’on partage les bénéfices », précise Jean-Louis Brissaud.
Une vision bien éloignée de celle de nombreuses autres entreprises : «Dans notre société occidentale, les managers sont bien souvent égocentriques. Dans les start-up, on voit qu’on recherche à tirer le maximum avant de revendre. Mais ce n’est pas notre philosophie», explique modestement le patron. Et d’ajouter : «Si vous voulez pérenniser une entreprise, il faut savoir faire preuve d’empathie et d’altruisme. Cela n’est pas incompatible avec le fait d’engendrer des bénéfices».
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