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La Coupe du monde de football a commencé et les analystes d'une banque danoise ont déjà désigné son surprenant vainqueur: l'Islande !
Cette étude à l'apparence humoristique départage pourtant les compétiteurs sur des critères bien solides, ceux des données économiques, financières et sociales des 32 participants au prestigieux tournoi en Russie.
D'après Saxo Bank, les grandes puissances latino-américaines du football n'ont aucune chance de remporter les matches de l'économie réelle, du fait des inégalités criantes qui divisent leurs populations.
A l'inverse, l'Islande et le Danemark, bien notés par les analystes de cette banque d'investissement en ligne, sortiraient en tête de leur groupe de qualification et traceraient leur route jusqu'en finale, dont l'Islande sortirait gagnante. Interrogé par l'AFP sur un éventuel penchant pour les équipes nordiques, l'économiste en chef chargé de l'étude, Steen Jakobsen, rit de bon cœur. "Je ne suis pas un grand supporteur du Danemark, ni en économie ni en football, toute notre démonstration est mathématique", assure-t-il depuis Copenhague.
L'étude a décortiqué les performances économiques des participants à la Coupe du monde en étudiant leur inflation, taux de chômage, performances en Bourse (ou sur le marché pétrolier pour l'Iran), profil d'emprunteur et coefficient Gini - une mesure des inégalités.
L'Islande figure bien dans cette compétition imaginaire car son économie s'est bien reprise après la déconfiture subie pendant la crise financière internationale.
D'après Saxo Bank, le Japon battrait l'Allemagne pour la troisième place, tandis que la Corée du Sud, la Suisse, l'Australie et la Suède feraient aussi bonne figure.
Le Brésil et l'Argentine seraient éliminés dès la phase de poule, en raison de leur médiocre résultat pour le coefficient Gini.
Cette étude à l'apparence humoristique départage pourtant les compétiteurs sur des critères bien solides, ceux des données économiques, financières et sociales des 32 participants au prestigieux tournoi en Russie.
D'après Saxo Bank, les grandes puissances latino-américaines du football n'ont aucune chance de remporter les matches de l'économie réelle, du fait des inégalités criantes qui divisent leurs populations.
A l'inverse, l'Islande et le Danemark, bien notés par les analystes de cette banque d'investissement en ligne, sortiraient en tête de leur groupe de qualification et traceraient leur route jusqu'en finale, dont l'Islande sortirait gagnante. Interrogé par l'AFP sur un éventuel penchant pour les équipes nordiques, l'économiste en chef chargé de l'étude, Steen Jakobsen, rit de bon cœur. "Je ne suis pas un grand supporteur du Danemark, ni en économie ni en football, toute notre démonstration est mathématique", assure-t-il depuis Copenhague.
L'étude a décortiqué les performances économiques des participants à la Coupe du monde en étudiant leur inflation, taux de chômage, performances en Bourse (ou sur le marché pétrolier pour l'Iran), profil d'emprunteur et coefficient Gini - une mesure des inégalités.
L'Islande figure bien dans cette compétition imaginaire car son économie s'est bien reprise après la déconfiture subie pendant la crise financière internationale.
D'après Saxo Bank, le Japon battrait l'Allemagne pour la troisième place, tandis que la Corée du Sud, la Suisse, l'Australie et la Suède feraient aussi bonne figure.
Le Brésil et l'Argentine seraient éliminés dès la phase de poule, en raison de leur médiocre résultat pour le coefficient Gini.