
Autres articles
-
En Libye, le “ coworking ” attire des jeunes en mal de connexion
-
Il invente un meurtre pour qu ’ on lui déneige sa route
-
Dans les sciences, les femmes toujours sous-représentées
-
Des volontaires infectés à la Covid-19 pour une étude inédite
-
En Suède, les “déneigeurs du ciel” bravent le vertige sur les toits
Les dirigeants des 21 pays de la région Asie-Pacifique (Apec) réunis en sommet à Lima ont revêtu dimanche une sobre étole couleur tabac pour leur photo de famille, rompant avec une tradition d'audaces vestimentaires parfois source de railleries.
L'Américain Barack Obama, le Chinois Xi Jinping, le Japonais Shinzo Abe et le Russe Vladimir Poutine, notamment, avaient jeté sur leur épaule droite cet accessoire en laine de vigogne, un mammifère rare vivant dans la cordillère des Andes, dont la laine fine est très recherchée.
Ces chefs d'Etat habitués aux costumes de ville sombres semblaient bien moins embarrassés que lors de la précédente édition de ce sommet au Pérou, en 2008. Les ponchos portés à l'époque avaient été comparés à des "sacs à patates", suscitant quelques grimaces au moment de la photo.
Depuis que le président américain Bill Clinton a lancé la mode en 1993 au sommet de Seattle, avec des blousons d'aviateur en cuir, les chefs d'Etat des deux rives du Pacifique se sont pliés à cette tradition un brin folklorique avec plus ou moins de bonheur.
Au fil des années, ils ont ainsi dû enfiler une tunique de soie vietnamienne, un poncho, un hanbok coréen ou un manteau imperméable Drizabone d'Australie. Le Japon avait lors du sommet d'Osaka en 1995 imposé le costume sombre du "salaryman" ("salarié").
Les sommets de l'Apec en 2010 au Japon et en 2011 à Hawaii avaient rompu avec la tradition qui a ensuite repris.
L'an dernier aux Philippines, les dirigeants avaient posé en "barong", une chemise en fibre d'ananas, le costume national de l'archipel.
L'Américain Barack Obama, le Chinois Xi Jinping, le Japonais Shinzo Abe et le Russe Vladimir Poutine, notamment, avaient jeté sur leur épaule droite cet accessoire en laine de vigogne, un mammifère rare vivant dans la cordillère des Andes, dont la laine fine est très recherchée.
Ces chefs d'Etat habitués aux costumes de ville sombres semblaient bien moins embarrassés que lors de la précédente édition de ce sommet au Pérou, en 2008. Les ponchos portés à l'époque avaient été comparés à des "sacs à patates", suscitant quelques grimaces au moment de la photo.
Depuis que le président américain Bill Clinton a lancé la mode en 1993 au sommet de Seattle, avec des blousons d'aviateur en cuir, les chefs d'Etat des deux rives du Pacifique se sont pliés à cette tradition un brin folklorique avec plus ou moins de bonheur.
Au fil des années, ils ont ainsi dû enfiler une tunique de soie vietnamienne, un poncho, un hanbok coréen ou un manteau imperméable Drizabone d'Australie. Le Japon avait lors du sommet d'Osaka en 1995 imposé le costume sombre du "salaryman" ("salarié").
Les sommets de l'Apec en 2010 au Japon et en 2011 à Hawaii avaient rompu avec la tradition qui a ensuite repris.
L'an dernier aux Philippines, les dirigeants avaient posé en "barong", une chemise en fibre d'ananas, le costume national de l'archipel.