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Une jeune femme de 24 ans reproche au géant américain de ne pas avoir assuré la bonne sécurité d’une excursion réservée sur l’une de ses plateformes.
Breanne Ayala s’en est tirée avec un bras cassé. Mais son excursion à dos de chameau organisée en janvier 2018 à Marrakech aurait pu virer au drame. D’après le Boston Globe, qui relate les faits, la jeune Américaine vivant dans le New Jersey avait opté pour une balade aux abords de la ville marocaine depuis le site de réservation Viator, filiale du géant TripAdvisor.
Mais l’animal a provoqué sa chute, selon ses dires. Evoquant une mauvaise sécurisation de l’excursion, elle met en cause la responsabilité de la plateforme par le biais d’une plainte déposée fin décembre 2019, réclamant un dédommagement de 120.000 dollars lié aux frais médicaux.
“Ils [les organisateurs de l’excursion, ndlr] l’ont placée sur une chamelle enceinte, à un mois de la fin de sa gestation”, explique l’avocat de Breanne Ayala auprès du média américain. L’état de nervosité de l’animal l’aurait conduit à s’éloigner du groupe, avant de projeter la femme au sol. Cette dernière a dû être opérée sur place en raison des risques de séquelles à long-terme. Selon la plaignante, aucune consigne de sécurité n’avait été émise avant le début de la balade, contrairement à ce qui était indiqué sur le site.
Selon la plainte, TripAdvisor et sa filiale Viator auraient dû être informés de l’utilisation de chameaux non-entraînés “et dans une condition physique dangereuse”. Interrogée par le Boston Globe, une porte-parole de l’entreprise n’a pas souhaité apporter de commentaire.
Sur son site, Viator ne précise pas de quelle façon la sécurité des excursions est contrôlée, déclinant au passage toute responsabilité.
“Les sociétés du groupe Viator ne sont pas responsables des actes, erreurs, omissions, déclarations, garanties, violations, négligences ou inconduites de tels prestataires, ou de toute blessure personnelle, de tout décès [...] résultant d’une réservation ou de l’utilisation d’un produit”, avertit-elle dans ses conditions d’utilisation.
La firme promet en revanche de prendre le bien-être animal “très au sérieux”, en garantissant la conformité des activités proposées “au guide du bien-être mondial ABTA pour les animaux de tourisme.”
Breanne Ayala s’en est tirée avec un bras cassé. Mais son excursion à dos de chameau organisée en janvier 2018 à Marrakech aurait pu virer au drame. D’après le Boston Globe, qui relate les faits, la jeune Américaine vivant dans le New Jersey avait opté pour une balade aux abords de la ville marocaine depuis le site de réservation Viator, filiale du géant TripAdvisor.
Mais l’animal a provoqué sa chute, selon ses dires. Evoquant une mauvaise sécurisation de l’excursion, elle met en cause la responsabilité de la plateforme par le biais d’une plainte déposée fin décembre 2019, réclamant un dédommagement de 120.000 dollars lié aux frais médicaux.
“Ils [les organisateurs de l’excursion, ndlr] l’ont placée sur une chamelle enceinte, à un mois de la fin de sa gestation”, explique l’avocat de Breanne Ayala auprès du média américain. L’état de nervosité de l’animal l’aurait conduit à s’éloigner du groupe, avant de projeter la femme au sol. Cette dernière a dû être opérée sur place en raison des risques de séquelles à long-terme. Selon la plaignante, aucune consigne de sécurité n’avait été émise avant le début de la balade, contrairement à ce qui était indiqué sur le site.
Selon la plainte, TripAdvisor et sa filiale Viator auraient dû être informés de l’utilisation de chameaux non-entraînés “et dans une condition physique dangereuse”. Interrogée par le Boston Globe, une porte-parole de l’entreprise n’a pas souhaité apporter de commentaire.
Sur son site, Viator ne précise pas de quelle façon la sécurité des excursions est contrôlée, déclinant au passage toute responsabilité.
“Les sociétés du groupe Viator ne sont pas responsables des actes, erreurs, omissions, déclarations, garanties, violations, négligences ou inconduites de tels prestataires, ou de toute blessure personnelle, de tout décès [...] résultant d’une réservation ou de l’utilisation d’un produit”, avertit-elle dans ses conditions d’utilisation.
La firme promet en revanche de prendre le bien-être animal “très au sérieux”, en garantissant la conformité des activités proposées “au guide du bien-être mondial ABTA pour les animaux de tourisme.”