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La Banque centrale de la Thaïlande a émis une note recommandant aux banques commerciales d’exiger de leurs clients qui auraient subi une chirurgie plastique faciale de fournir une nouvelle pièce d’identité avec photo récente.
Cette recommandation intervient dans le cadre d’une série de mesures annoncées courant cette semaine pour lutter contre le trafic grandissant des faux comptes bancaires utilisés dans des activités frauduleuses et criminelles.
Les faux comptes bancaires sont souvent ouverts à l’aide de pièces d’identités volées et quand les photos d’identité ne correspondent pas au visage du demandeur, ce dernier argue une opération esthétique qui a modifié son apparence.
La Banque centrale qui a incité les banques à durcir le contrôle de l’authenticité des documents fournis lors de toute ouverture de compte, assure que la responsabilité pénale des établissements bancaires sera désormais engagée pour toute négligence constatée dans les affaires de fraude liées aux faux comptes bancaires.
Dans la plupart des affaires de fraude et d’escroquerie, les enquêteurs buttent sur la question de faux comptes bancaires utilisés par les escrocs pour encaisser des virements de leurs victimes.
Il s’agit notamment de l’escroquerie des «faux centres d’appels téléphoniques» dont les opérateurs, usant de divers subterfuges, amènent les victimes à transférer des sommes d’argent sur des comptes bancaires ouverts de façon frauduleuse auprès des banques.
Un centre d’appel clandestin qui a été démantelé récemment se faisait passer pour un service des douanes. L’opérateur appelait une victime en l'informant que la fouille d’un colis adressé à son adresse a permis la découverte d’une quantité de drogues.
Après la menace des poursuites et des lourdes peines prévues pour le trafic de drogue, l’interlocuteur propose à la victime de transférer une forte somme d’argent sur un compte bancaire pour « passer l’éponge» sur l'affaire.
Cette recommandation intervient dans le cadre d’une série de mesures annoncées courant cette semaine pour lutter contre le trafic grandissant des faux comptes bancaires utilisés dans des activités frauduleuses et criminelles.
Les faux comptes bancaires sont souvent ouverts à l’aide de pièces d’identités volées et quand les photos d’identité ne correspondent pas au visage du demandeur, ce dernier argue une opération esthétique qui a modifié son apparence.
La Banque centrale qui a incité les banques à durcir le contrôle de l’authenticité des documents fournis lors de toute ouverture de compte, assure que la responsabilité pénale des établissements bancaires sera désormais engagée pour toute négligence constatée dans les affaires de fraude liées aux faux comptes bancaires.
Dans la plupart des affaires de fraude et d’escroquerie, les enquêteurs buttent sur la question de faux comptes bancaires utilisés par les escrocs pour encaisser des virements de leurs victimes.
Il s’agit notamment de l’escroquerie des «faux centres d’appels téléphoniques» dont les opérateurs, usant de divers subterfuges, amènent les victimes à transférer des sommes d’argent sur des comptes bancaires ouverts de façon frauduleuse auprès des banques.
Un centre d’appel clandestin qui a été démantelé récemment se faisait passer pour un service des douanes. L’opérateur appelait une victime en l'informant que la fouille d’un colis adressé à son adresse a permis la découverte d’une quantité de drogues.
Après la menace des poursuites et des lourdes peines prévues pour le trafic de drogue, l’interlocuteur propose à la victime de transférer une forte somme d’argent sur un compte bancaire pour « passer l’éponge» sur l'affaire.