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Un père de famille de 38 ans domicilié à Annecy comparaîtra en janvier devant le tribunal correctionnel pour avoir régulièrement inondé d'appels le standard téléphonique de l'Elysée et proféré des injures à ses interlocuteurs, a-t-on appris mercredi auprès de la police.
Les agissements du quadragénaire ont été signalés il y a plusieurs semaines par les agents du Palais de l'Elysée aux services de police de la capitale, qui ont ouvert une enquête après que l'homme eut contacté 195 fois son standard en l'espace de vingt-quatre heures.
"Cet homme donnait régulièrement son point de vue de façon véhémente sur tout un tas de choses et estimait légitime de le faire directement auprès de l'Elysée. Son discours était souvent incohérent, vindicatif et accompagné d'insultes", a précisé la police, confirmant une information de L'Essor Savoyard.
Identifié grâce à son numéro de téléphone, ce professeur de musique, qui n'en était pas à son premier fait d'arme en matière de harcèlement téléphonique, a été interpellé lundi et placé en garde à vue. Il a reconnu les 195 appels passés à l'Elysée - qui n'a pas porté plainte - mais a "minimisé" les injures.
Selon la police, l'enseignant avait déjà été cité à comparaître devant la justice il y a deux ans pour avoir harcelé "d'autres administrations et plusieurs invités d'émissions de télévision".
La justice l'avait alors rappelé à l'ordre et il avait bénéficié de plusieurs "alternatives à poursuites", dont une obligation de soins. En raison du "caractère de récidive", il devra cette fois s'expliquer devant le tribunal correctionnel d'Annecy, le 19 janvier prochain.
Les agissements du quadragénaire ont été signalés il y a plusieurs semaines par les agents du Palais de l'Elysée aux services de police de la capitale, qui ont ouvert une enquête après que l'homme eut contacté 195 fois son standard en l'espace de vingt-quatre heures.
"Cet homme donnait régulièrement son point de vue de façon véhémente sur tout un tas de choses et estimait légitime de le faire directement auprès de l'Elysée. Son discours était souvent incohérent, vindicatif et accompagné d'insultes", a précisé la police, confirmant une information de L'Essor Savoyard.
Identifié grâce à son numéro de téléphone, ce professeur de musique, qui n'en était pas à son premier fait d'arme en matière de harcèlement téléphonique, a été interpellé lundi et placé en garde à vue. Il a reconnu les 195 appels passés à l'Elysée - qui n'a pas porté plainte - mais a "minimisé" les injures.
Selon la police, l'enseignant avait déjà été cité à comparaître devant la justice il y a deux ans pour avoir harcelé "d'autres administrations et plusieurs invités d'émissions de télévision".
La justice l'avait alors rappelé à l'ordre et il avait bénéficié de plusieurs "alternatives à poursuites", dont une obligation de soins. En raison du "caractère de récidive", il devra cette fois s'expliquer devant le tribunal correctionnel d'Annecy, le 19 janvier prochain.