-
Le Japon réaffirme pour la troisième fois sa non-reconnaissance de l'entité séparatiste
-
Quand l'intrusion séparatiste tourne à l'humiliation diplomatique
-
Déclaration finale : Les Chefs d'Etat africains et du Japon saluent les initiatives africaines lancées par Sa Majesté le Roi en matière de climat et de migration
-
Mise en exergue de la Vision et des Initiatives de Sa Majesté le Roi en Afrique
Les trois accusés Yacine Bouheltit, Bilel Al-Aloui et Mohamed Al-Hamedi étaient accusés d'être entrés illégalement en 2008 en Algérie où ils se sont rendus à Maghnia, ville de l'extrême-ouest du pays, située près de la frontière algéro-marocaine en face de la ville d’Oujda.
Ils y auraient rencontré leur guide algérien, Mohamed Aghbalou, «qui était chargé de les conduire jusqu'aux caches de groupes terroristes dans le nord de l'Algérie», ajoute l'agence citant l'acte d'accusation.
Mises en alerte par une communication téléphonique qu'elles avaient interceptée, les forces de sécurité algériennes avaient arrêté les trois Marocains dès leur arrivée à Maghnia.
Les trois accusés, déjà impliqués dans des affaires de terrorisme, selon la même source, ont reconnu leur appartenance, au courant salafiste marocain, mais se sont déclarés innocents de toute activité terroriste.
Ils ont affirmé être venus en Algérie pour participer à un trafic de stupéfiants, de bétail, et de vêtements.
Ils ont été condamnés à trois ans de prison ferme, après que le ministère public eut requis 10 ans de détention contre chacun d'entre eux.