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Que représente cette victoire pour vous?
"C'est quelque chose d'énorme, qui paraissait irréalisable avant la compétition mais au fil des jours de préparation et de compétition on a commencé à croire en nous. Nous ne sommes pas les meilleurs mais on avait une force qui nous animait et qui a fait la différence. On a eu aussi de la réussite, tout a tourné rond pour nous."
Aviez-vous préparé cette séance de tirs au but?
"J'avais dit qu'on pouvait terminer un tournoi avec la meilleure attaque et la meilleure défense sans être le vainqueur. En 2010, on avait perdu aux penalties contre le Nigeria, on était plus fort dans notre tête.
C'était un signe du destin, c'était écrit quelque part. Le fait de venir pour la finale ici nous a donné une force incroyable. On avait envie de faire quelque chose pour notre président (Kalusha Bwalya, le seul survivant de l'équipe de 1993, ndlr)."
Comment expliquer le soutien du public gabonais?
"Parce que tout le monde au Gabon se rappelle de ce crash. Parce que nous n'étions pas favoris et on défend souvent les plus petits et qu'on a pratiqué un jeu plaisant. On a osé car un joueur zambien ne peut qu'attaquer, il ne sait pas défendre. Il y a des erreurs tactiques mais leur talent compense beaucoup de chose."