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Dans un entretien diffusé par la chaîne Médi 1 Sat dans le cadre de l'émission "Maghreb hebdo", Ould Errachid a fait remarquer que ces agissements sont, justement, apparus lorsque le polisario et l'Algérie ont acquis la conviction que la négociation dans le cadre des Nations unies ne peut favoriser le séparatisme, particulièrement après les déclarations de l'ancien Envoyé spécial du secrétaire de l'ONU Peter Van Walsum selon lesquelles l'indépendance "n'est pas une option réaliste".
En se trouvant au pied du mur de la réalité, le polisario et l'Algérie se sont rabattus sur des questions marginales sans rapport avec le fond des négociations pour contourner le projet d'autonomie au Sahara et les efforts déployés pour une solution définitive de ce dossier, a-t-il indiqué.
Les autorités marocaines ont réagi de façon "constructive et positive" au cas Haidar qui, pourtant, relève de l'acte prémédité, a-t-il indiqué.
Ould Errachid a également constaté le fiasco auquel ont abouti les calculs de ceux qui pariaient, dans cette affaire, sur la position officielle de l'Espagne, pays qui soutient désormais l'option d'autonomie qui se trouve à la base de la méthodologie qu'elle a, elle-même, suivi pour régler ses propres problèmes intérieurs.
L'"option de négociation est la meilleure et la plus appropriée", d'autant plus que la communauté internationale encourage cette voie pour l'aboutissement au "seul règlement possible" que représente l'autonomie, a-t-il ajouté, mettant l'accent sur la volonté politique qui doit animer toutes les parties afin que les négociations puissent se poursuivre et aboutir à la solution de ce conflit qui n'a que trop duré.