Autres articles
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
La neige au plus bas dans l'Himalaya
Le contrat liant Smokehouse entertainment, la société de production de George Clooney et Warner Bros. arrivant à terme, l'acteur cherchait un autre studio pour les héberger. Il vient de signer avec Sony, choix pour le moins surprenant alors qu'il s'agit de la société qui vient d'interrompre la production de Moneyball, le film de son grand ami Steven Soderbergh. Six films étaient en développement avec Warner Bros, rien ne dit qu'ils seront des cartons du déménagement. Surtout dans la mesure où la majorité de ces films, au contenu politique fort (The challenges, sur l'attaque en justice de l'administration Bush par deux avocats pour fausse accusation de terrorisme, Our brand is crisis, sur les manipulations d'une élection présidentielle en Bolivie par des spin doctors américains,
Escape from Tehran ou comment la CIA rata la récupération d'otages en Iran en 1979) ne sont pas vraiment dans l'esprit de Sony. Seul The Tourist, thriller d'espionnage dans lequel un agent se dépêtre d'un meurtre qu'on lui colle sur le dos et The innocent man, d'après un roman de John Grisham, semblent être dans la ligne éditoriale de la maison. La vie dans le monde du cinéma n'est clairement pas un long fleuve tranquille.
Escape from Tehran ou comment la CIA rata la récupération d'otages en Iran en 1979) ne sont pas vraiment dans l'esprit de Sony. Seul The Tourist, thriller d'espionnage dans lequel un agent se dépêtre d'un meurtre qu'on lui colle sur le dos et The innocent man, d'après un roman de John Grisham, semblent être dans la ligne éditoriale de la maison. La vie dans le monde du cinéma n'est clairement pas un long fleuve tranquille.