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Chômage, mépris et exil
Ce sont justement ces agissements, enregistrements et photos à l’appui, qui lui ont valu une sentence onusienne sans équivoque prononcée par Mary Lawler, rapporteuse spéciale sur la situation des défenseurs et des défenseuses des droits de l’Homme (herself). La requête argumentée et documentée qu’avait fait valoir la diplomatie marocaine a, en toute logique, abouti. « Game is over » pour cette Khaya, déchue illico presto du titre qu’elle avait usurpé sans scrupules. Peut-on en avoir d’ailleurs, quand on s’est confectionné une « cause » avec pour seules fins de servir ses propres intérêts, de renflouer ses comptes en banque et de mener la belle vie au détriment de pauvres personnes séquestrées dans des camps de la honte au moment où dans les provinces marocaines du Sud, au Sahara marocain, des milliers de familles vivent fièrement leur citoyenneté participant pleinement à l’essor de la région et de tout un pays ?
Comme la trahison et le mercenariat ont un prix, la Khaya en question, à l’instar de tant d’autres dirigeants séparatistes, tels ces gradés militaires algériens et autres civils véreux, bénéficie de privilèges insoupçonnés, s’offrant des voyages de luxe et, avec ça, une résidence ouatée du côté de la Costa Blanca espagnole.
M.B.A