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Il y a eu le rouge à lèvres sur le col de la chemise, puis les textos qui ne laissent pas de doutes sur l’existence d’une relation amoureuse. Aujourd’hui, c’est Facebook qui est devenu la nouvelle preuve irréfutable utilisée par les conjoints en instance de divorce. 81% des avocats spécialisés dans les divorces des Etats-Unis ont vu une augmentation du nombre de cas utilisant les réseaux sociaux comme preuve au cours des cinq dernières années, selon une étude récente de l’American Academy of Matriomonial Lawyers (AAML). Parmi ces sites, Facebook est la première source de preuves pour 66% des avocats, suivi de MySpace, cité par 15% des avocats et Twitter à 5%. Marlene Eskind Moses, présidente de l’AAML, explique:
«Les périodes de divorce entraînent toujours un plus haut niveau de surveillance personnelle. Si vous postez publiquement des phrases contredisant des déclarations ou promesses formulées antérieurement, un conjoint qui veut le divorce sera sans doute le premier à le relever et à l’utiliser comme preuve. Alors que tout le monde partage de plus en plus d’aspects de sa vie sur les sites de réseaux sociaux, chacun s’expose à un examen bien plus minutieux de sa vie publique et privée dans ces situations délicates.»
Selon les avocats en droit matrimonial interrogés, les conjoints utilisent les photos, les messages et même les mises à jour de statut de Facebook dans les cas de divorce. Et le site de Mark Zuckerberg n’est pas qu’une source de preuves supplémentaires, il peut aussi créer des situations de séparation en mettant des amants perdus de vue depuis longtemps à portée de clic. Beaucoup de maris et de femmes trahis affirment, en effet, que leur conjoint s’est éloigné après avoir repris contact avec un ancien flirt sur Facebook.
En novembre dernier, un pasteur du New Jersey avait demandé à cinquante responsables mariés de son église de supprimer leurs comptes Facebook ou de démissionner de leur position de responsabilité. «Depuis un an et demi, je suis de plus en plus confronté à des couples qui ont des problèmes dans leur mariage à cause de Facebook», expliquait-il à l'Associated Press, affirmant que 20 couples de sa paroisse de 1.100 personnes ont eu des problèmes maritaux dans les six derniers mois, après que l'un des époux soit de nouveau rentré en contact avec un ou une ex grâce au réseau social.
«Les périodes de divorce entraînent toujours un plus haut niveau de surveillance personnelle. Si vous postez publiquement des phrases contredisant des déclarations ou promesses formulées antérieurement, un conjoint qui veut le divorce sera sans doute le premier à le relever et à l’utiliser comme preuve. Alors que tout le monde partage de plus en plus d’aspects de sa vie sur les sites de réseaux sociaux, chacun s’expose à un examen bien plus minutieux de sa vie publique et privée dans ces situations délicates.»
Selon les avocats en droit matrimonial interrogés, les conjoints utilisent les photos, les messages et même les mises à jour de statut de Facebook dans les cas de divorce. Et le site de Mark Zuckerberg n’est pas qu’une source de preuves supplémentaires, il peut aussi créer des situations de séparation en mettant des amants perdus de vue depuis longtemps à portée de clic. Beaucoup de maris et de femmes trahis affirment, en effet, que leur conjoint s’est éloigné après avoir repris contact avec un ancien flirt sur Facebook.
En novembre dernier, un pasteur du New Jersey avait demandé à cinquante responsables mariés de son église de supprimer leurs comptes Facebook ou de démissionner de leur position de responsabilité. «Depuis un an et demi, je suis de plus en plus confronté à des couples qui ont des problèmes dans leur mariage à cause de Facebook», expliquait-il à l'Associated Press, affirmant que 20 couples de sa paroisse de 1.100 personnes ont eu des problèmes maritaux dans les six derniers mois, après que l'un des époux soit de nouveau rentré en contact avec un ou une ex grâce au réseau social.