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Chômage, mépris et exil
Honnie et dénoncée par la plupart de ses victimes, cette dernière a toujours usé de tous les stratagèmes pour détourner les regards des Sahraouis et les aides internationales que ses chefs collectent en leurs noms.
Pour faire croire aux populations qu’il œuvre pour trouver une solution au problème, leur patron, Brahim Ghali, a adressé une missive au Secrétaire général de l’ONU le menaçant de se retirer du processus de paix conduit par l’organisation internationale.
Une semaine après les discours enflammés qu’il a prononcés devant les congressistes de Tifarity annonçant que la reprise de la guerre était indispensable, Brahim Ghali semble avoir reçu pour instruction de mettre des bâtons dans les roues du processus onusien.
En général, quand on veut revenir aux processus des tables rondes, on ne pose pas de conditions. Or les marionnettes d’Alger ont soumis leur reprise à cinq conditions.
Dans sa lettre au Secrétaire général de l’ONU, Brahim Ghali exige, en effet, la tenue de négociations directes avec le Maroc, sous l’égide de l’ONU et demande à Antonio Guterres de désigner, dans les meilleurs délais, un envoyé spécial, en remplacement de l’Allemand Horst Köhler, qui a présenté sa démission de ce poste.
Il s’est, par ailleurs, plaint de l’ouverture, il y a une semaine, d’un consulat général de la République des Comores à Laâyoune et a pousuivi sa série de menaces.
Mais nul n’ignore que, décrié à l’intérieur des camps de Tindouf et ayant subi durant l’année dernière des revers successifs, le Polisario n’a plus d’autre objectif que de brouiller les pistes. Ceci d’autant plus que la situation dans les camps ne cesse de se détériorer.
Selon des témoins oculaires, le siège du Polisario a, en effet, connu des rassemblements regroupant un grand nombre de commerçants qui protestent contre la saisie de leurs marchandises et l’interpellation de l’un des leurs.
Une autre source des camps fait état de la multiplication des protestations et des sit-in depuis la clôture des travaux dudit congrès qui a consolidé la mainmise de ce que les populations appellent la « bande imposée », sous entendu imposée par les généraux algériens.