Autres articles
-
Pas de lien entre les vaccins et l'autisme
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
La surface de l'océan Arctique engendrerait d'importantes quantités de méthane, un puissant gaz à effet de serre, contribuant alors à l'accélération du réchauffement climatique. C'est du moins ce qu'avancent des chercheurs de l'Institut de technologie de Californie, après avoir enregistré des concentrations de méthane atmosphériques élevées au-dessus des eaux de surface de l'océan glacial.
D'importantes émissions de gaz à effet de serre ont été mesurées par des chercheurs ayant survolé à plusieurs reprises l'océan Arctique, parfois jusqu'à 82 degrés de latitude nord. Dirigés par Eric Kort, de l'Institut de technologie de Californie (Caltech), les scientifiques ont relevé des concentrations élevées de méthane, un gaz près de vingt fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2), près de la surface des eaux, et tout particulièrement au-dessus des morceaux de glace flottant sur l'océan.
Dans une étude publiée par Nature Geoscience, et rapportée par l'AFP, Eric Kort explique que l'Arctique pourrait représenter une importante source de méthane "potentiellement sensible aux changements dans la couverture glacée de la mer". Un phénomène qui demeure pour l'heure inexpliqué. Elle-même engendrée par le réchauffement de la planète, la fonte des glaces l'accélèrerait en émettant ce puissant gaz à effet de serre. Un cercle vicieux déjà observé dans le permafrost de Sibérie et d'Amérique du Nord. Le méthane enfermé pendant des millions d'années que recèle la glace s'échappe du sol quand les températures augmentent, avaient observé de précédentes études.
Cette découverte est une première. Jamais les océans n'avaient ainsi été considérés comme des sources du changement climatique. Les chercheurs estiment que l'origine de ce phénomène pourrait être liée à la présence de microbes à la surface de l'eau.
D'importantes émissions de gaz à effet de serre ont été mesurées par des chercheurs ayant survolé à plusieurs reprises l'océan Arctique, parfois jusqu'à 82 degrés de latitude nord. Dirigés par Eric Kort, de l'Institut de technologie de Californie (Caltech), les scientifiques ont relevé des concentrations élevées de méthane, un gaz près de vingt fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2), près de la surface des eaux, et tout particulièrement au-dessus des morceaux de glace flottant sur l'océan.
Dans une étude publiée par Nature Geoscience, et rapportée par l'AFP, Eric Kort explique que l'Arctique pourrait représenter une importante source de méthane "potentiellement sensible aux changements dans la couverture glacée de la mer". Un phénomène qui demeure pour l'heure inexpliqué. Elle-même engendrée par le réchauffement de la planète, la fonte des glaces l'accélèrerait en émettant ce puissant gaz à effet de serre. Un cercle vicieux déjà observé dans le permafrost de Sibérie et d'Amérique du Nord. Le méthane enfermé pendant des millions d'années que recèle la glace s'échappe du sol quand les températures augmentent, avaient observé de précédentes études.
Cette découverte est une première. Jamais les océans n'avaient ainsi été considérés comme des sources du changement climatique. Les chercheurs estiment que l'origine de ce phénomène pourrait être liée à la présence de microbes à la surface de l'eau.









Pas de lien entre les vaccins et l'autisme
