Autres articles
-
Plus de deux milliards de personnes risquent de basculer dans la pauvreté
-
La Chine annonce que sa capacité en énergie éolienne et solaire dépasse pour la première fois le thermique
-
Aux Pays-Bas, l'épineux problème des pesticides sur les fleurs
-
Pas de révélation des causes de l'autisme en septembre, corrigent les Etats-Unis
-
Un chauffeur de bus vole 6 euros et perd 73.000 euros de prime de retraite
Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA), les apports énergétiques quotidiens devraient comporter entre 35% et 40% de lipides en moyenne. Or en France, 43% des adultes et 34% des enfants se situent hors de ces limites…
Il ne s'agit pas bien évidemment, de bannir les matières grasses. Consommées judicieusement, elles sont très utiles à la santé. Le secret, c'est de diversifier nos sources de lipides, de manière à couvrir les besoins physiologiques et à prévenir l'apparition de certains troubles. Consommez avec mesure les acides gras saturés, sans jamais dépasser 12% des apports nutritionnels conseillés (ANC). Ces «mauvaises graisses» sont en effet athérogènes, c'est-à-dire qu'elles favorisent le dépôt de cholestérol à l'intérieur des artères. Aujourd'hui nous avons du travail dans ce domaine. Car avec 16% des ANC, les Français ont encore bien des progrès à faire. «Les lipides ont des effets bénéfiques sur la santé à condition de diversifier les apports en graisses végétales et animales», rappelle l'AFSSA. Elle recommande ainsi la consommation d'aliments riches en acides gras polyinsaturés : les huiles de colza et de noix sont d'excellentes sources d'acide alpha-linolénique, précurseur de la famille des oméga-3.
Il ne s'agit pas bien évidemment, de bannir les matières grasses. Consommées judicieusement, elles sont très utiles à la santé. Le secret, c'est de diversifier nos sources de lipides, de manière à couvrir les besoins physiologiques et à prévenir l'apparition de certains troubles. Consommez avec mesure les acides gras saturés, sans jamais dépasser 12% des apports nutritionnels conseillés (ANC). Ces «mauvaises graisses» sont en effet athérogènes, c'est-à-dire qu'elles favorisent le dépôt de cholestérol à l'intérieur des artères. Aujourd'hui nous avons du travail dans ce domaine. Car avec 16% des ANC, les Français ont encore bien des progrès à faire. «Les lipides ont des effets bénéfiques sur la santé à condition de diversifier les apports en graisses végétales et animales», rappelle l'AFSSA. Elle recommande ainsi la consommation d'aliments riches en acides gras polyinsaturés : les huiles de colza et de noix sont d'excellentes sources d'acide alpha-linolénique, précurseur de la famille des oméga-3.