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Et si la solution pour devenir un génie était de tomber sur la tête? C’est en résumé la conclusion d’une étude américaine rapportée par The Atlantic. Celle-ci indique que des patients victimes de lésions cérébrales pourraient développer des aptitudes artistiques ou intellectuelles.
L’article prend l’exemple d’Eadweard Muybridge, un photographe britannique du XIXe siècle. Rendu célèbre par ses photos qui ont permis de comprendre comment galopait un cheval, l’homme était décrit à l’époque comme un excentrique. Un comportement imputé à la blessure à la tête qu’il s’était faite lors d’un accident. Et d’après des chercheurs, c’est cet accident qui aurait été responsable de son génie artistique.
D’après les scientifiques, Muybridge aurait été ce que l’on appelle un «savant par acquisition». Pour le psychiatre Darold Treffert qui a conduit ces recherches, il y a 330 «savants» dans le monde. Et dans cette liste, 300 sont nés comme ça.
L’étude s’appuie sur des recherches conduites en 2003 par Bruce Miller, un professeur de neurologie de l’Université de San Francisco. L’apparition de ces capacités pourrait être liée à une maladie appelée la démence fronto-temporale. Une théorie expliquerait que, comme cette maladie n’attaque qu’une partie du cerveau, les autres compenseraient en se développant.
Ce n’est pas la première fois que des chercheurs lient des lésions cérébrales à un changement de comportement. L’année dernière, un jeune Britannique jurait même qu’une congestion cérébrale lui avait fait changer d’orientation sexuelle.
L’article prend l’exemple d’Eadweard Muybridge, un photographe britannique du XIXe siècle. Rendu célèbre par ses photos qui ont permis de comprendre comment galopait un cheval, l’homme était décrit à l’époque comme un excentrique. Un comportement imputé à la blessure à la tête qu’il s’était faite lors d’un accident. Et d’après des chercheurs, c’est cet accident qui aurait été responsable de son génie artistique.
D’après les scientifiques, Muybridge aurait été ce que l’on appelle un «savant par acquisition». Pour le psychiatre Darold Treffert qui a conduit ces recherches, il y a 330 «savants» dans le monde. Et dans cette liste, 300 sont nés comme ça.
L’étude s’appuie sur des recherches conduites en 2003 par Bruce Miller, un professeur de neurologie de l’Université de San Francisco. L’apparition de ces capacités pourrait être liée à une maladie appelée la démence fronto-temporale. Une théorie expliquerait que, comme cette maladie n’attaque qu’une partie du cerveau, les autres compenseraient en se développant.
Ce n’est pas la première fois que des chercheurs lient des lésions cérébrales à un changement de comportement. L’année dernière, un jeune Britannique jurait même qu’une congestion cérébrale lui avait fait changer d’orientation sexuelle.