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Le Japon va tester de nouveaux portillons de sécurité capables de détecter des traces d'explosif en quelques secondes, à l'occasion du sommet Asie-Pacifique le mois prochain, ont annoncé mercredi les autorités.
Le système, qui est encore en phase de développement, sera installé du 12 au 14 novembre dans une gare de Yokohama, proche de Tokyo, où se réuniront les dirigeants des pays membres du Forum économique Asie-Pacifique (Apec).
Les usagers pourront choisir d'emprunter le portillon équipé du dispositif, fabriqué par la société nippone Hitachi, afin de participer au test, ou bien de sortir par une autre voie.
Avec ce système, au passage d'un voyageur, un courant d'air chaud soulève les particules se trouvant sur ses vêtements ou sur sa peau, poussières qui sont ensuite aspirées par un appareil placé à l'autre bout du portillon afin d'être analysées.
Les particules d'explosif peuvent être détectées en deux à trois secondes, affirme le ministère des Sciences et de la Technologie.
Lorsqu'une personne fabrique ou transporte des engins explosifs, "des substances chimiques subsistent sur les mains, les vêtements, les sacs (...) et le souffle d'air chaud permet de les détacher", a expliqué Akiko Kobayashi, employé au ministère.
Ce système, qui est apparemment le premier du genre mis au point dans le monde, est déjà testé depuis l'an dernier à l'aéroport de Haneda, proche de Tokyo, et dans le quartier de magasins d'électronique d'Akihabara, dans l'est de la capitale.
La sécurité a été renforcée en prévision du sommet de l'Apec qui va attirer des dirigeants de 21 pays, dont le président américain Barack Obama. La police nationale a indiqué qu'elle allait mobiliser chaque jour 21.000 hommes pendant la durée de la réunion, prévue du 7 au 14 novembre.
Le système, qui est encore en phase de développement, sera installé du 12 au 14 novembre dans une gare de Yokohama, proche de Tokyo, où se réuniront les dirigeants des pays membres du Forum économique Asie-Pacifique (Apec).
Les usagers pourront choisir d'emprunter le portillon équipé du dispositif, fabriqué par la société nippone Hitachi, afin de participer au test, ou bien de sortir par une autre voie.
Avec ce système, au passage d'un voyageur, un courant d'air chaud soulève les particules se trouvant sur ses vêtements ou sur sa peau, poussières qui sont ensuite aspirées par un appareil placé à l'autre bout du portillon afin d'être analysées.
Les particules d'explosif peuvent être détectées en deux à trois secondes, affirme le ministère des Sciences et de la Technologie.
Lorsqu'une personne fabrique ou transporte des engins explosifs, "des substances chimiques subsistent sur les mains, les vêtements, les sacs (...) et le souffle d'air chaud permet de les détacher", a expliqué Akiko Kobayashi, employé au ministère.
Ce système, qui est apparemment le premier du genre mis au point dans le monde, est déjà testé depuis l'an dernier à l'aéroport de Haneda, proche de Tokyo, et dans le quartier de magasins d'électronique d'Akihabara, dans l'est de la capitale.
La sécurité a été renforcée en prévision du sommet de l'Apec qui va attirer des dirigeants de 21 pays, dont le président américain Barack Obama. La police nationale a indiqué qu'elle allait mobiliser chaque jour 21.000 hommes pendant la durée de la réunion, prévue du 7 au 14 novembre.









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