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Malgré l’absence d’études cliniques sur les humains capables d’en prouver les risques, le groupe de travail sur l’environnement (EWG) lance à nouveau le débat sur la possible toxicité de l’oxybenzone contenu dans les crèmes solaires.
Si aucune étude n’a été réalisée sur des humains, les tests réalisés sur des animaux ont montré que l’oxybenzone est un composé hautement allergène capable de passer la barrière de la peau et de se retrouver dans le sang et les urines. Les agences gouvernementales des États-Unis et du Canada n’ont pas demandé d’émettre un avertissement toxicologique sur les produits qui en contiennent, alors que l’Union Européenne l’oblige. L’EWG a publié au début de l’été une évaluation de plus de mille produits solaires et constaté que plusieurs n’offrent pas une protection suffisante ou contiennent des produits douteux comme l’oxybenzone, utilisé comme filtre ultra-violet. Tous les écrans solaires n’utilisent pas d’oxybenzone, seuls les écrans chimiques en contiennent. L’absence de preuves oblige les spécialistes à la prudence. Une personne à la peau sensible ne doit pas utiliser un produit à l’oxybenzone, ni les enfants âgés de moins de 2 ans. D’autres spécialistes minimisent le risque et l’opposent au nombre croissant de mélanomes, conséquence de l’absence de protection solaire.
Si aucune étude n’a été réalisée sur des humains, les tests réalisés sur des animaux ont montré que l’oxybenzone est un composé hautement allergène capable de passer la barrière de la peau et de se retrouver dans le sang et les urines. Les agences gouvernementales des États-Unis et du Canada n’ont pas demandé d’émettre un avertissement toxicologique sur les produits qui en contiennent, alors que l’Union Européenne l’oblige. L’EWG a publié au début de l’été une évaluation de plus de mille produits solaires et constaté que plusieurs n’offrent pas une protection suffisante ou contiennent des produits douteux comme l’oxybenzone, utilisé comme filtre ultra-violet. Tous les écrans solaires n’utilisent pas d’oxybenzone, seuls les écrans chimiques en contiennent. L’absence de preuves oblige les spécialistes à la prudence. Une personne à la peau sensible ne doit pas utiliser un produit à l’oxybenzone, ni les enfants âgés de moins de 2 ans. D’autres spécialistes minimisent le risque et l’opposent au nombre croissant de mélanomes, conséquence de l’absence de protection solaire.