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Des traces de pas d’éléphants datant de sept millions d’années ont été découvertes aux Emirats Arabes Unis par des paléontologues. Elles constitueraient les plus vieilles de ce type et pourraient être la plus longue piste ainsi préservée dans le monde.
Si les paléontologues découvrent régulièrement des traces fossilisées de dinosaures, ce sont aujourd’hui les restes de la présence d’un autre animal qui ont été mis au jour aux Emirats Arabes Unis : celle d’un éléphant datant de sept millions d’années. La découverte a été faite sur un site de paléontologie, appelé Mleisa 1, au sein d’une formation géologique datant de la fin du Miocène.
Les empreintes de pas seraient celles d’un troupeau d’au moins 13 éléphants de divers âges, des adultes à l’éléphanteau, qui marchaient dans la boue, selon l’étude conduite par Faysal Bibi du Museum für Naturkunde de Berlin). Une fois imprimées, les traces se seraient durcies et auraient été ensevelies avant que l’érosion ne les expose à nouveau à la surface sept millions d’années plus tard. Un âge qui fait d’elles la plus ancienne preuve fossile du passage d’éléphants et des complexes interactions sociales dans le troupeau.
Les éléphants fonctionnent selon un plan de société matriarcale où les deux sexes ne sont pas mélangés. Une plus large empreinte, distante des autres observées, serait ainsi celle d’un mâle. Mieux encore : celle-ci s’étendrait sur une longueur de 260 mètres. Outre la plus vieille, il pourrait alors s’agir aussi de la plus longue série continue de traces fossiles jamais retrouvée dans le monde.
Si les paléontologues découvrent régulièrement des traces fossilisées de dinosaures, ce sont aujourd’hui les restes de la présence d’un autre animal qui ont été mis au jour aux Emirats Arabes Unis : celle d’un éléphant datant de sept millions d’années. La découverte a été faite sur un site de paléontologie, appelé Mleisa 1, au sein d’une formation géologique datant de la fin du Miocène.
Les empreintes de pas seraient celles d’un troupeau d’au moins 13 éléphants de divers âges, des adultes à l’éléphanteau, qui marchaient dans la boue, selon l’étude conduite par Faysal Bibi du Museum für Naturkunde de Berlin). Une fois imprimées, les traces se seraient durcies et auraient été ensevelies avant que l’érosion ne les expose à nouveau à la surface sept millions d’années plus tard. Un âge qui fait d’elles la plus ancienne preuve fossile du passage d’éléphants et des complexes interactions sociales dans le troupeau.
Les éléphants fonctionnent selon un plan de société matriarcale où les deux sexes ne sont pas mélangés. Une plus large empreinte, distante des autres observées, serait ainsi celle d’un mâle. Mieux encore : celle-ci s’étendrait sur une longueur de 260 mètres. Outre la plus vieille, il pourrait alors s’agir aussi de la plus longue série continue de traces fossiles jamais retrouvée dans le monde.