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Des scientifiques viennent de mettre à jour HadCRUT, une des bases de données principales en ce qui concerne les températures terrestres. Les premières informations remontaient à 1850...
Et il était temps que les données subissent un petit coup de jeune, notamment celles provenant de l'Arctique, devenues obsolètes. En effet, c'est la région de la planète qui a connu les plus grands changements au niveau du réchauffement climatique. Mais les modifications ne changent guère la tendance à long-terme. 1998 n'est juste plus considérée comme l'année la plus chaude, c'est 2010 qui prend la première place.
Phil Jones, directeur du Climatic Unit Research (Cru) explique qu'il était nécessaire de revoir les chiffres de HadCRUT: "Nous avons étayé la base de données avec différentes observations mais il est clair qu'il se peut que cela ne reflète pas totalement l'ampleur des changements en Arctique, car nous avons très peu d'informations sur cette région. Nous avons donc ajouté à HadCRUT, les données provenant de plus de 400 stations en Arctique, en Russie et au Canada", rapporte la BBC.
En outre, les scientifiques ont également changé leur façon de mesure la température à la surface des océans. Désormais, avec les avancées technologiques, les bateaux sont pratiquement tous équipés de capteurs, qui peuvent précisément mesurer la température à la surface. Leurs nouvelles techniques ont donc été enregistrées, permettant de préciser et de réajuster les anciennes données.
Quand une erreur se glisse dans les données... Cela leur a également permis de découvrir une anomalie qui se glissait dans chacun de leurs relevés... Cette erreur était due aux anciennes techniques de mesure. En effet, avec des différences dans les seaux utilisés pour collecter l'eau de mer, et les différents endroits de prélèvement des échantillons, les résultats étaient loin d'être précis.
Et il était temps que les données subissent un petit coup de jeune, notamment celles provenant de l'Arctique, devenues obsolètes. En effet, c'est la région de la planète qui a connu les plus grands changements au niveau du réchauffement climatique. Mais les modifications ne changent guère la tendance à long-terme. 1998 n'est juste plus considérée comme l'année la plus chaude, c'est 2010 qui prend la première place.
Phil Jones, directeur du Climatic Unit Research (Cru) explique qu'il était nécessaire de revoir les chiffres de HadCRUT: "Nous avons étayé la base de données avec différentes observations mais il est clair qu'il se peut que cela ne reflète pas totalement l'ampleur des changements en Arctique, car nous avons très peu d'informations sur cette région. Nous avons donc ajouté à HadCRUT, les données provenant de plus de 400 stations en Arctique, en Russie et au Canada", rapporte la BBC.
En outre, les scientifiques ont également changé leur façon de mesure la température à la surface des océans. Désormais, avec les avancées technologiques, les bateaux sont pratiquement tous équipés de capteurs, qui peuvent précisément mesurer la température à la surface. Leurs nouvelles techniques ont donc été enregistrées, permettant de préciser et de réajuster les anciennes données.
Quand une erreur se glisse dans les données... Cela leur a également permis de découvrir une anomalie qui se glissait dans chacun de leurs relevés... Cette erreur était due aux anciennes techniques de mesure. En effet, avec des différences dans les seaux utilisés pour collecter l'eau de mer, et les différents endroits de prélèvement des échantillons, les résultats étaient loin d'être précis.