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Le président iranien Mahmoud Ahmadi nejad a annoncé que l'Iran entendait envoyer une navette habitée dans l'espace d'ici neuf ans. Une réponse aux puissances occidentales qui le pressent de suspendre son programme nucléaire.
"L'Iran devait envoyer un homme dans l'espace d'ici 2024, mais en réponse aux menaces et aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'Iran, le projet a été avancé de cinq ans et sera lancé en 2019" a annoncé le président iranien dans un communiqué repris par l'AFP.
L'Iran fait en effet l'objet de quatre volets de sanction au Conseil de sécurité des Nations unies en raison de son activité d'enrichissement d'uranium. En février dernier, le pays avait réalisé avec succès un tir expérimental de son lanceur de satellite Kavoshgar-3, à bord duquel ont voyagé un rat, des tortues et des vers. Récemment, le ministre iranien des Télécommunications Reza Taghipour a déclaré que l'Iran prévoyait de lancer à la fin du mois d'août un nouveau satellite, Rasad 1. Le développement du programme spatial de l'Iran inquiète les puissances occidentales qui craignent que la technologie balistique à longue portée, utilisée pour mettre des satellites en orbite, puisse également servir à des fins militaires et notamment, à tirer des ogives nucléaires.
"L'Iran devait envoyer un homme dans l'espace d'ici 2024, mais en réponse aux menaces et aux résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU contre l'Iran, le projet a été avancé de cinq ans et sera lancé en 2019" a annoncé le président iranien dans un communiqué repris par l'AFP.
L'Iran fait en effet l'objet de quatre volets de sanction au Conseil de sécurité des Nations unies en raison de son activité d'enrichissement d'uranium. En février dernier, le pays avait réalisé avec succès un tir expérimental de son lanceur de satellite Kavoshgar-3, à bord duquel ont voyagé un rat, des tortues et des vers. Récemment, le ministre iranien des Télécommunications Reza Taghipour a déclaré que l'Iran prévoyait de lancer à la fin du mois d'août un nouveau satellite, Rasad 1. Le développement du programme spatial de l'Iran inquiète les puissances occidentales qui craignent que la technologie balistique à longue portée, utilisée pour mettre des satellites en orbite, puisse également servir à des fins militaires et notamment, à tirer des ogives nucléaires.